Traboule à double cour, séparées par un imposant escalier en colimaçon. Longs couloirs sombres amenant à chacune des cours.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La porte du 4 Juiverie ainsi que le portail du 1 Saint-Barthélémy ont été condamnés. Il est tout de même possible de s'aventurer dans la cour qui fait l'angle en passant par les couloirs à l'intérieur, on y découvre ainsi le superbe escalier qui fait face à la Gare Saint-Paul. Il est intéressant de d'arrêter au 4 Juiverie pour y lire la plaque Henri IV. On y découvre d'ailleurs un buste bien gardé & protégé dans le dédale des couloirs.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La traboule que j'ai indexée doit correspondre à ce qu'est aujourd'hui la Ruelle Punaise. Vous pouvez en apprendre plus sur cette trace du Lyon médieval en lisant le panneau explicatif rue Juiverie. Si le 18 Juiverie & le 7 Saint-Barthélémy ne semblent pas communiquer en soi d'un point de vue logique &cartographique, il y a tout de même 2 portes similiaires, barricadées à triple tour, qui m'interpellent. Je reviendrai sur place après quelques recherches pour comprendre ce que j'ai râté.
L'intégralité de la Ruelle Puanise est visible de chaque côté, mais fermée par des grilles. Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La rue Saint-Nicolas traboule en soi, de la Place Gerson au Quai de Bondy. Si les anciennes données parlent du "3 Quai de Bondy", il s'agit en fait, je pense, de l'entrée de la Rue Saint Nicolas au niveau du quai. La porte du 2 est, quant à elle, condamnée. La rue Saint-Nicolas est un joli passage à emprunter, avec un tracé bien curieux par rapport à l'urbanisme actuel, témoignant de son ancienneté. N'hésitez pas à la longer pour en apercevoir ses jolis détails, portes, & y frôler la paroisse Saint-Paul.
La Rue Saint-Nicolas peut être empruntée librement, à toute heure.
Très jolie cour, avec un vieil escalier en colimaçon. L'allée semble hors du temps par ses couloirs, jusqu'à arriver à la lumineuse cour. La traboule communique bien, mais, les portes condamnées empêchent sa traversée.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule classique, avec un angle droit sec au niveau de la cour. Malheureusement peu à détailler ici.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La traversée est toujours possible. Une toute petite cour rend la traboule différente de celles aux alentours.
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Les 3 allées communiquaient bien ensemble en passant par une cour centrale. Or, l'accès depuis le 108 est aujourd'hui muré. Le 106 du Boulevard & le 7 Vauzelles sont par contre toujours reliés. On rejoint la très belle cour originale -avec des bancs au milieu !- par respectivement 2 très longs couloirs. Le 7 Vauzelles n'est en revanche qu'une sortie, la porte ne s'ouvre pas par l'extérieur; il n'y a d'ailleurs même plus la plaque de numéro. De l'intérieur, il faut enjamber un portillon pour accéder à la porte condamnée. 'Enjamber le portillon' reste une information à prendre avec des pincettes, je n'ai peut-être juste pas vu la poignée qui m'aurait évitée certaines acrobaties.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La traboule existe, on en voit la cour centrale. Les 2 portes à l'intérieur des allées sont par contre condamnées, & n'en permettent pas la traversée. C'est bien dommage puisqu'on y voit ce qui semble être un ancien puits -qui expliquerait donc la privatisation aussi-. La cour paraît donc totalement privative, accessible uniquement par les appartements des particuliers.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule présentant une très grande cour, accompagnée de jolis pavés au sol. Rien de notable, si ce n'est la présence de ces grandes portes cochères, aujourd'hui automatisées.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule présentant une très grande cour, accompagnée de jolis pavés au sol. Rien de notable, si ce n'est la présence de ces grandes portes cochères, aujourd'hui automatisées. Un bel arbre trône au milieu.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule présentant une cour très allongée, mais très étroite par rapport à celles des allées voisines de la place. Rien de notable, si ce n'est la présence de ces grandes portes cochères, aujourd'hui automatisées.
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Il semble bien y avoir un passage reliant les 2 allées. On distingue aussi une petite cour à travers les fenêtres teintées. Malheureusement, les 2 portes respectives sont fermées à clé & obstruées. Impossible pour moi d'aller plus loin ici.
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Très jolie traboule, avec une cour lumineuse, comprenant un mur en pierre orné de voûtes très originales. Très bel ascenceur en verre flottant au milieu de nulle part, comme on en voit maintenant beaucoup dans ces immeubles modernisés.
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Très long couloir rectiligne, qui permet de passer d'un bout à l'autre. Il y a peut-être une petite cour sur le côté, mais l'ascenceur & l'entrée de l'escalier central sont fermés par des digicodes, m'empêchant d'y jeter un coup d'oeil. De jolis ornements & des portes anciennes à l'intérieur, qui rendent la traversée de ce couloir moins monotone.
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Très long couloir sombre, entrecoupé par un très bel escalier, imposant par rapport à l'étroitesse de l'allée. Plein de petits détails sur toute sa montée. La cour est extrêmement étriquée, mais donne une vue très agréable; notamment grâce à cette petite tour suspendue qui a poussé comme un excroissance sur les façades.
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Très long couloir permettant la traversée. Une jolie ambiance se dégage de la lumière tamisée & de la couleur de la peinture, & grâce au plafond renové avec de jolies moulures. Une toute petite cour est collée aux cuisines du restaurant, mais avec un charme très certain, probablement en raison de son étroitesse. Un monsieur habitant l'immeuble & croisé pendant ma visite, m'explique que la légère pente au niveau de la sortie du couloir côté quai est un reste de l'ancien tracé & nivellement d'une sortie qui descendait tout droit jusqu'à la Saône.
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Dite 'Passage des Imprimeurs' cette traboule longe quelques restaurants & boutiques. Si je ne me permettrais pas d'avis gastronomique, ce passage vaut le détour pour son côté pittoresque. Prenez le temps d'y flâner quelques minutes & sans vous cogner à l'un des serveurs qui cavalent, mais pensez surtout à lire les 2 plaques touristiques historiques présentes de chaque côté de la traversée.
Le Passage des Imprimeurs peut être emprunté librement.
Superbe en tout point. Porte désuète & couloir 'dans son jus', mais le clou du spectacle revient à la cour. Les immeubles Rennaissance qui la surplombent sont en effet classés Monuments Historiques. L'enchevêtrement de formes, de détails, de couleurs, de matériaux, donne à ce passage une ambiance particulière. L'escalier en colimaçon y est aussi remarquable. La traboule est sous vidéo-surveillance, & les cuisines des restaurants donnent directement sur la cour.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Le passage est tout le temps ouvert & empruntable librement. Petite ruelle pavée, agrémentée de jolies façades & de fenêtres à meneaux. Levez un oeil en sortant au niveau de Saint-Georges pour y voir le joli plafond de poutres & de bois.
Le passage peut être empruntée librement, à toute heure.
La traversée est toujours possible à l'intérieur. Un joli escalier en colimaçon permet de compenser le dénivelé entre le quai & la rue Saint-Georges. Une jolie cour est aussi présente.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traversée toujours existante & possible. On y trouve en bonus une jolie cour.
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Incroyables dédales & successions de cours & d'escaliers pour arriver à compenser le dénivelé d'un côté à l'autre. En entrant par le Gourguillon, il faut successivement enchaîner une cour, 2 étages, une nouvelle cour, 4 étages, une dernière cour, encore un escalier, puis remonter tout un passage sinueux en pente à l'air libre, pour espérer rejoindre les grilles du Chemin-Neuf. Traboule incroyable, mais aussi proche de toutes les habitations & fenêtres. Il n'est en soit pas possible, sans clé des résidents, de traverser totalement. Les grilles sont fermées.
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La porte au 29 Doyenné est condamnée. On se rend compte une fois à l'intérieur qu'elle donne sur un petit jardin privatif. La traversée est donc réellement existante, mais n'est plus possible aujourd'hui.
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Le couloir d'entrée au 28 Doyenné dessert 2 lots. La partie droite communique avec le 11 Saint-Georges, via un escalier en colimaçon hors du temps. A gauche, c'est un joli immeuble dans son jus avec un escalier central qui sillonne les 2 côtés, comme on en retrouve particulièrement rue de l'Annonciade. Cette partie là par contre, ne semble malheureusement déboucher sur la rue Saint-Georges
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Superbe cour symmétrique. 2 beaux escaliers de pierre en colimaçon permettent de compenser le dénivelé entre la rue & la place.
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Jolie cour avec une façade de couleur différente, qui en fait tout son charme. La traversée est toujours possible mais l'accès à la cour est protégé d'un côté & de l'autre par une grille.
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Traboule peu notable. Rien de spécial si ce n'est son escalier en colimaçon vertigineux. La traversée n'est même plus possible, la porte Montée des Carmélites est condamnée.
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La traversée semble toujours exister, mais il m'est impossible de le savoir définitivement. En effet, cela m'obligerait à prendre un jardin privatif par la rue de l'Annonciade, & je me retrouve coincé face à une grille rue de la Vieille. En observant la disposition & les vues satellites, tout porte à croire que la traboule est toujours là. Je repasserai en misant sur un peu plus de chance.
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Très bel escalier en pierre, seule chose qui sauve cette traboule de l'ennui. La traversée est toujours faisable, mais il n'y a rien de notable dans ce passage.
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Il est tout à fait possible de passer par le 3 pour observer la beauté du Clos Saint-Benoît. De la signalétique de la ville indique même le point d'intérêt. Prenez le temps d'y flâner pour observer toutes ces belles façades. L'allée du quai communique en effet avec le clos par une porte ancienne donnant sur la cour entourée de grilles.
Le 3 Saint-Benoît peut-être emprunté librement. L'allée du quai, elle, est privée, fermée & n'appartient pas à un circuit touristique.
Très beau couloir à l'entrée du 5, en arrivant par une porte cochère. La cour a elle aussi un charme certain. Il y a bien une porte au fond de celle-ci qui permet d'effectuer la traversée jusque la rue Serlin, mais elle est aujourd'hui bloquée.
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Couloir permettant à l'époque la traversée, mais la porte qui relie les deux allées est aujourd'hui condamnée. Le passage est donc existant mais impossible.
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Curieuse traboule. La traversée existe bien, mais la porte la permettant est condamnée. Au 12, un escalier avec une "cour" permet d'éclairer la montée. Au 3, dans cette allée d'un autre temps, on y voit un escalier en colimaçon, puis, par une petite porte dérobée au fond du couloir, on accède à la cour.
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Les 2 allées de la rue Longue donnent en effet sur une cour. Impossible en revanche de passer la grille. De l'autre côté, je me retrouve soit face à une allée que je ne peux franchir, soit directement dans l'hôtel. La comunication semble donc exister, mais je ne peux le prouver totalement; elle serait dans tous les cas bien trop protégée & condamnée pour l'emprunter.
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Traboule existante, mais traversée totalement impossible de mon côté. La porte qui fait communiquer la cour du 3 & le couloir du 21 est fermée. La cour a ceci dit une forme irrégulière comparée à toutes les autres que j'ai vues jusque là, qui en fait son charme. Difficile d'admirer les lieux ou d'en faire un compte-rendu; lors de mon passage, tout est en travaux, & je m'en vais avant d'essuyer mille questions & un mélange de plâtre & de poussière.
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Il y a bien une traboule ici, mais il faudrait passer par le restaurant pour la traverser. le 23 Longue n'est donc que l'entrée de l'immeuble, débouchant immédiatement sur "Le Passage". De l'autre côté par contre, on peut s'aventurer pour apprécier les très beaux escaliers & cour. On y voit donc l'arrière du restaurant.
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Très longue traboule, avec une symmétrie agréable. Malheureusement, la traversée est impossible, une énorme grille cadenassée empêche le passage à l'arrivée à la rue Chenavard. En rentrant par la rue Lanterne, on peut apprécier une belle cour en effet miroir très satisfaisant, 2 grands escaliers desservant chacun une allée ou l'autre, puis une deuxième cour avant de retomber au couloir sortant à Chenavard.
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Très grand escalier en colimaçon, en contraste total avec l'ascenceur moderne en son centre. La vue du ciel par le bas de l'escalier en est d'ailleurs malheureusement obstruée par la cage. Une des rares traboule coudée de la zone. Une petite plaque sur la porte rue Royale indique d'ailleurs son existence.
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Traversée possible par un couloir tout ce qu'il y a de plus rectiligne. Ascenceur & l'escalier semblent dater d'un autre temps, & donnent un charme à la traboule. Il y a une petite cour qui dessert l'escalier, avec une plaque de verre en son sommet; chose rare.
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Très jolie traboule, avec une cour ancienne & vertigineuse. Une porte coupe l'accès au 6 Royale, qui paraît par ailleurs condamné.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Contrairement à ce que pourrait laisser penser la plaque rue Royale, la traversée est possible, & propose même une jolie mais petite cour avec vue sur le ciel.
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Allée très très vétuste, en rénovation au moment de mon passage. C'est dommage, puisque la traboule est somme toute très jolie: une belle & grande cour déportée sur le côté, qui éclaire cet escalier gigantesque au milieu du couloir.
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Très satisfaisante, puisque parfaitement symmétrique dans sa construction & son organisation. De chaque côté, un couloir dessert un superbe escalier qui permet de dévaler les étages. La cour centrale y est très charmante, mais impossible d'y rentrer, pusiqu'encerclée de portes supplémentaires, fermées à clé.
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En rentrant par la rue Royale, un demi-étage par escalier permet de rattraper le dénivelé de la rue Alsace-Lorraine. Traversée possible mais compliquée, pusiqu'en plus des portes de chaque allée, des grilles se dressent sur le chemin. Cour classique mais agréable, entourée d'escalier de chaque côté de la traboule.
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Les petites plaques touristiques sur le mur à l'entrée ainsi que dans la traversée indiquent que la traboule est ouverte en permanence, tout du moins en journée. Les allées & escaliers des habitants étant protégés par des grilles fermées, je me permets de la référencer en 'ouverte'. Je vous conseille de passer par la rue des Capucins, dont l'entrée était ouverte à chacun de mes passages de vérification; ce qui n'était pas le cas de Coustou. Concernant la traboule en elle-même, elle est en plus très agréable à arpenter. Grande, & coudée au dernier moment, c'est aussi la cour qui apporte tout son charme: très lumineuse & spacieuse, encerclée de murs aux couleurs & textures différentes. La porte du 2 Romarin m'a tout l'air condamnée, & ne semble plus pouvoir desservir la rue.
La traboule semble faire partie d'un itinéraire touristique de la ville, & devrait pouvoir être empruntée librement. Si les portes sont fermées, merci de respecter la tranquilité des résidents, & de ne pas vous y aventurer.
Jolie traboule. Une très grande & lumineuse cour, & d'anciennes massives portes cochères à chaque entrée. Les vieilles portes en bois qui ouvrent sur la cour rajoutent d'autant plus à l'ambiance du lieu.
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Cour originale, à la forme biscornue une fois les yeux levés au ciel. La tour est aussi un plus agréable visuellement. Double couloir avec porte sur cour de chaque côté, mais coudé au niveau de Franklin, qui permet de se réaligner avec la rue.
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La traversée existe & est visible, mais de chaque côté, les portes sur cour sont fermées. Probablement question de sécurité, & pour empêcher les curieux comme moi d'outre-passer la limite. Dommage, car la cour semble très belle. On peut d'ailleurs y apercevoir une pompe à eau d'un autre temps. Original !
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La traboule existe bien, mais je n'ai pas traversé la cour, pour éviter de déranger les habitants qui étaient fenêtres ouvertes en cette période estivale; l'heure de ma visite étant très très matinale. Les allées sont somme toute très 'banales', & ressemblent à toutes leurs voisines de cette zone du 2ème.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Très jolie cour un bel arbre en son centre. Les façades de différentes couleurs, ainsi que la symétrie des 2 allées rajoutent au plaisir de ma visite. Deux avancées de chaque côté desservent donc les 4 bâtiments qui composent le tout.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
L'une des rares traboules comportant une double cour. La première est très lumineuse & aérée, les bâtiments semblent refléter la lumière de toute part. La deuxième, plus étriquée, n'en demeure pas moins agréable à l'oeil. On peut voir, de part & d'autre des cours, les grilles qui protègent l'accès aux escaliers desservant les nombreux appartements des bâtiments.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique. La grille du 81 République a tendance à être ouverte en journée en raison de la salle de sport qui a ses locaux dans le premier bâtiment, essentiellement. Si vous décidez de vous y aventurer, merci de respecter les riverains & de ne pas outrepasser les limites. Soyez y discrets.
De longs couloirs étroits permettent la traversée. Double cours étriquées, séparées par l'escalier central. La symétrie est toutefois très satisfaisante, même la tour est parfaitement reflétée à chaque cour. On remarquera l'ancien nom du quai Rolland sur la plaque de la porte rue St Jean; porte qui ne semble d'ailleurs être utilisée uniquement pour la sortie.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule que j'ai envie de qualifier de 'dans son jus'. On peut y voir deux cours, donc une avec d'anciennes façades, mais fermée par un petit portillon. La deuxième, quant à elle, propose une de ces petites tours que l'on peut voir régulièrement au fil des traboules. La différence de niveaux du plafond est intéressante, cassant la monotonie de la traversée.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule typique, bien représentative de ce que l'on peut trouver dans le 5ème, & particulièrement dans cette zone. Le couloir orné de ses voûtes d'ogives au plafond, amène à une cour étriquée mais très jolie selon moi. On empruntera un long couloir sombre pour sortir au niveau du quai. N'oubliez pas de jeter un oeil à la plaque commémorative à Ennemond Fousseret.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la Place du Gouvernement, les quelques marches à braver nous emmènent vers une superbe cour pleine de détails, dans un état de rénovation & de propreté irréprochables. En continuant, l'escalier en colimaçon nous redescend au niveau initial pour redescendre vers un nouveau puits de lumière, avec vue sur le ciel toujours bleu de Lyon. Le couloir, quant à lui, est bien moins intéressant, mais permet de nous faire sortir au niveau du quai & d'effectuer la traversée. L'entrée au 2 Gouvernement est généralement toujours ouverte en journée. Il y a en effet un salon de thé à l'entrée, & je ne compte plus les fois où, passant devant la place, j'y ai vu des gens en sortir, appareil photo autour du cou. Si vous décidez de vous y aventurer, merci de respecter les riverains & de ne pas outrepasser les limites. Soyez y discrets; des gens habitent dans ces magnifiques lieux.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique. L'entrée Place du Gouvernement est géénralement ouverte en journée. Si vous décidez de vous y aventurer, merci de respecter les riverains & de ne pas outrepasser les limites. Soyez y discrets.
En entrant par le rue des Trois-Maries, on observe rapidement une petite cour avec un joli escalier en façade. Un demi-étage descendu plus tard, une deuxième superbe cour avec un puits nous attend. Le dénivelé étant rattrapé, il suffira d'emprunter le couloir pour sortir sur le quai.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule très représentative de l'ambiance de celles de la zone. Un couloir sombre, agrémenté de sa cour avec tour. On notera tout de même la jolie mosaïque au sol.
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Haut couloir à voûtes d'ogives. Superbe cour aux balcons fleuris, toute mon admiration aux habitants pour ce régal visuel floral. Le tout est sublimé par la peinture & les façades remises à jour & d'une propreté sans équivalent.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule très classqiue & parfait échantillon de celles des environs dans son cheminement: couloir-cour-tour. Les murs décrépis lui donnent tout de même un certain charme & une ambiance différente de celles cossues des environs.
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Des couleurs qui me carressent les yeux. Un long couloir permet la traversée, se décalant juste après la cour. Elle-même séparée en deux par les escaliers qui desservent les bâtiments.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la rue du Boeuf, on emprunte un couloir qui nous amène à un escalier en colimaçon. En le descendant, une cour, très défraichie, nous accueille. Au fond de celle-ci, on peut apercevoir un encadrement de porte bouché par divers 'objets' & autres fioritures qui bloquent mon passage. En entrant par le rue Saint-Jean, je retrouve cet amas au bout du couloir. La traversée existe donc, mais est aujourd'hui complêtement bouchée. On trouve ausi une petite cour au 30, avant de pouvoir emprunter les escaliers qui deservent les habitations. Tout comme l'autre côté de la traboule, l'allée est quelque peu défraîchie & mériterait de retrouver la beauté dont elle a le potentiel.
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Très impressionante. Autant les couloirs & la traversée sont classiques, autant, l'énorme cour fleurie suprend & appelle à l'émerveillement. L'une des plus grandes cours qu'il m'ait été donné de voir dans la zone.
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Traboule curieuse, originale. Son cheminement coudé est peu courant, & sa longueur anecdotique. Très surprenant de rentrer rue Saint-Jean pour directement déboucher à l'air libre place Neuve Saint-Jean. La façade au pied de laquelle vous êtes est très souvent photographiée & très apréciée des touristes. A juste titre d'ailleurs, quel plaisir de contempler les galeries & tours d'escaliers qu'elle propose. Une jolie petite fontaine à tête de lion est aussi présente devant la grille.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La traversée existe & passe par une jolie cour fleurie. Deux portes y amènent à partir de Vaubecour, 3 à partir du quai. Deux panneaux au-dessus des encadrements des portes indiquent une 'Montée Nord' ainsi qu'une 'Montée Sud'. La Nord rejoint Joffre, là où la Sud dessert tous les appartements qui peuplent ces grands bâtiments. L'ascenceur sur cour est le petit bonus charme de cette traboule déjà très agréable.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule coudée, passant par une très grande cour en sa longueur. Les petits halls d'entrée avant d'y arriver sont très classiques & desservent plusieurs montées aux appartements. Il aura été compliqué d'y prendre des photos ceci dit. Même avec mon passage à une heure extrêmement matinale, pour éviter de déranger les habitants, il y règne une ambiance très privée qui fera que je ne m'attarde pas. Chaque angle de prise de vue possible laissait apparaître des effets personnels des résidents qui n'auraient rien eu à faire sur Internet. Je vole quelques maigres photos de l'architecture, puis continue mon exploration du quartier.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule originale, imposante, & unique en son genre à ma connaissance. Trois allées de chacune des rues sont réliées à cette énorme cour; par ailleurs très jolie. Un puits central couvert de végétation y trône, entouré de vitrines de commerces, de galeries, & des innombrables fenêtres des habitations. Une des façades couverte de lierre finit de ponctuer ce joli spectacle. Après vérification, les 21 & 25 de la rue Remparts d'Ainay communiquent bien avec le tout, mais desservent les appartements. Le 23 est par contre l'entrée menant à cette cour. Il en va de même pour le 33 & 37 Comte, l'accès à la traboule se fera par le 35. Je n'ai jamais vu les accès fermés, tout du moins en journée. Vous pouvez donc rentrer & en profiter de vous-même en passant par le 23 Remparts d'Ainay ou le 35 Auguste Comte. Veuillez, peu importe votre heure de passage, vous rappeler que des gens habitent derrière ces fenêtres. Soyez discrets & respectueux !
Les allées du 21 & 25 Remparts d'Ainay ainsi que les 33 & 37 Comte sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique. Pour profiter de la cour, rendez-vous au 23 Remparts d'Ainay ou au 35 Auguste Comte, si les grilles y sont ouvertes.
Cas unique que cette cour des Trois Passages. Pas moins de 5 entrées la desservent, & toutes permettent de rentrer ou sortir où bon vous semble, simplement en en faisant le tour. Un détail doit m'échapper, mais si la rue des Trois Passages est logiquement censée rejoindre 3 passages, je compte pourtant 4 sorties. Toute la cour est articulée & orbite autour de ce bâtiment central, joliment bariolé de l'ancienne peinture de 'Garage Bellecour'. Différents états & couleurs de façades rendent la visite un peu plus dynamique.
L'accès par la rue des Trois Passages est ouvert en permanence, de jour ou de nuit. Si vous décidez d'y faire une visite, rappelez-vous d'être discrets & respectueux. Des gens habitent derrière ces fenêtres que vous longez !
Au 16 Comte, porte cochère motorisée & automatique, typique de la zone sud Bellecour. De petits couloirs d'entrée de chaque côté desservent une cour plutôt classique, mais les détails des fenêtres & l'ascenceur en verre rendent le tout plutôt esthétique.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
J'ai eu toutes les peines du monde à repérer cette traboule, la limite de propriété privée & d'intimité des riverains m'obligeant à rester en retrait. Au 12 Hugo, une porte fermée au bout du couloir d'entrée me paraît rejoindre une cour centrale, ce que confirmerait la cartographie du lieu. Par la fenêtre des escaliers, je l'aperçois en effet. L'accès au 10 Hugo est malheureusement impossible pour moi. C'est en me rendant en face au 7 Boissac, que je confirme la connexion. Même si une double porte me bloque l'accès, j'aperçois la cour qui relie ces 3 allées, & reconnais les façades d'en face. Peu de photos ou de détails intéressants à vous fournir ici, j'en suis navré, mais je peux confirmer l'existence de la traversée. Je ne sais malheureusement pas si elle est encore possible aujourd'hui, ou si les accès intérieurs ont été condamnés.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La cour du 5 Dauphin est ici la pièce centrale de la traboule. Gigantesque, colorée, de vieilles façades aux multiples aspects, elle a ce charme indescriptible d'une quiétude rare en plein centre de la Presqu'Île. Par le 7 Dauphin, une double porte fermée au début du couloir d'entrée me laisse voir la connexion. Au 5 Comte, c'est en traversant toute l'allée que je découvre la porte qui débouche sur l'arrière de la cour. Dans cette dernière allée, on trouve aussi un puits sur le ciel, étriqué entre les murs, qui permet quasiment à lui seul d'éclairer le long couloir.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Superbe escalier en pierre & colimaçon. Comme on en voit souvent certes, mais que voulez-vous, il y a des choses auxquelles je suis sensible ! Comme toutes les traboules qui proposent la traversée de la rue Bodin à la rue Mottet de Gérando, ce sont 2 étages entiers qui permettent de rattraper le dénivelé.
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Semblable à sa voisine, cette traboule s'articule autour d'un escalier en colimaçon en pierre, où 2 étages sont nécessaires pour rattraper le dénivelé entre les 2 rues. La présence du mur au milieu des bâtiments, mais que je ne peux approcher en raison de la verrière, me laisse supposer qu'elle devait d'ailleurs communiquer avec sa voisine en question. Je ne l'affirme ceci dit pas, parce qu'impossible pour moi de le prouver.
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De longs escaliers lèchent les murs de l'allée, donnant une vue imprenable sur la cour centrale, & la façade du bâtiment voisin. Ce dernier par ailleurs parfaitement symétrique, mais je n'ai pu y accéder pour vérifier s'il communiquait exactement de la même façon; j'y reviendrai en espérant avoir plus de chance. On peut tout de même voir une porte dans la cour qui le dessert. Cour très impressionante par ailleurs, de par son étroitesse & son point de vue vertigineux. De l'avantage de ces traboules sur des rues en dénivelé, les murs y sont souvent très haut, & offrent des délices visuelles. Il est à noter dans cette traboule que l'escalier, qui permet de communiquer d'une allée à l'autre, comporte une grille qui empêche le passage. Mais la traversée est bien là, existe, & est possible pour quiconque dispose des clés de la grille ou si celle-ci est ouverte.
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Traversée totalement possible, par cet escalier à virages d'angles droits, qui permet donc un joli point de vue par le bas. Voilà qui compensera ma frustration de ne avoir pu glisser mes yeux dans la cour centrale des bâtiments, qui avait l'air somptueuse. Mais des massifs de fleurs m'y laissent entendre qu'elle appartient à un résident du RdC, ou, tout, du moins, qu'il s'en sert comme son jardin. Ma limite au franchissement de portes & de vie privée est somme toute discutable, je vous l'accorde, mais je n'aurais jamais franchi celle-ci, & je laisse le jardin en paix.
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Allée très cossue. En témoigne le beau couloir, le vitrail au-dessus de la porte au 3, ou encore la très belle façade du 2 Provence. La traversée existe sans problème entre les 3 allées. Une petite cour simpliste s'ajoute au tout.
Les allées sont privées, fermées de tous les côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule typique de celles que l'on trouve dans la rue & le quartier, mais somme toute jolie. La cour avec les escaliers visibles tout le long des façades n'y est pas pour rien. De jolies fenêtres donnent en face de ces escaliers.
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Si l'intérieur & la traversée sont jolis, ils ne sont pas bien différents de toutes les traboules de la rue. Au niveau de l'entrée par le quai par contre, on retrouve cette légère avancée avant d'accéder à la porte, qui fait notamment penser à celles du quai Saint-Antoine dans le 2ème. La plus grande différence ici, sera le son de l'Institut Musical situé dans le bâtiment, qui donnera à ma visite un air de royauté solennel.
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Jolie surprise après la monotonie de ses voisines, cette traboule présente une jolie cour fleurie, où, summum du luxe, un banc est installé. Probablement lieu de détente des bureaux qui donnent sur la cour, & véritable havre de paix comparé au bruit au bruit du quai à côté. La traversée coude au niveau de la sortie rue Royale. Une porte ferme l'accès de la cour au couloir du 6, mais la traversée est totalement possible pour qui dispose de la clé.
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Curieux sentiment d'être dans l'une des traboules qui relie la rue Mercière au quai Saint-Antoine, dans le deuxième arrondissement. Un long couloir terriblement sombre me guide tant bien que mal, puisque la lumière de la petite cour est bloquée par les escaliers. Cette dernière est d'ailleurs fermée par une grille, m'empêchant d'aller y jeter un oeil. Le petit lampadaire sur la façade à l'entresol aura au moins eu le mérite de me faire sourire.
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Compliqué de démêler cette traboule en restant clair pour vous. Je posterai, en plus des photos, un plan schématique sur la page qui lui est dédiée. J'ai tout de même décidé de la séparer de sa voisine de la Cour des Moirages, question de logique, mais aussi de simplicité. Toute la traboule est axée autour de l'escalier des Feuillants, qui était ouvert au public auparavant. Aujourd'hui, les portes sont toutes fermées & ne permettent plus sa visite libre. Je vous joins donc dans la galerie sur l'article, les plaques explicatives de la ville que l'oon peut encore voir accrochées à l'intérieur. Toutes les traversées se font sans problème, dans tous les sens possibles. Pour résumer brièvement: le 9 Feuillants communique avec le 6 Thou; le 4 Thou est indirectement reliée puisqu'en fond de rue aussi, & communique à son tour avec le 5 Feuillants. Il existe une dernière sortie qui donne dans la Cour des Moirages, mais qui n'a pas un numéro d'allée ou de rue.
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Presque anectodique, dommage, vu mon amour pour ce quartier. Un mini-couloir traverse les bâtiments, avec en bonus une grille fermée à clé qui m'empêche de sortir de l'autre côté. Une mini-cour aussi présente, servant à entreposer les poubelles. Très enrichissante visite donc. Mais la traversée existe bel & bien.
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La porte du 19 est comdamnée, l'entrée/sortie de ce côté n'est donc plus possible. La traversée existe bel & bien par contre, j'ai pu rejoindre la porte en question par le 10 Ancienne Préfecture. Petit couloir simpliste qui les relie, mais de jolies carreaux de ciment au sol.
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Difficile d'établir une conclusion pour moi ici. Cette traboule est recensée dans certaines sources, mais semble aujourd'hui hors-service. En regardant les vues satellites & la disposition des bâtiments, j'ai tout de même envie de confirmer son existence. Je me suis, des deux côtés, retrouvé bloqué face à l'ascenceur où aurait du se situer la traversée logique, mais je me demande si l'une des portes ne cachait pas la cour commune au 7/9 Gasparin & au 90/92 Herriot. L'hôtel au 92 complique mon action de recherche, comme le témoigne la traboule voisine. Je passe donc celle-ci en 'condamnée' pour le moment, en attendant de refaire quelques recherches sur place.
La traversée semble bouchée à première vue. Dans tous les cas, les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
L'ancienne porte qui permettait de rejoindre les 2 allées, & d'arpenter la cour, est bien visible en passant par le 9, mais est aujourd'hui bloquée. La présence de l'hôtel au 92 -qui jouit d'ailleurs de cette cour ?-, a du faire fermer la traversée. J'ai voulu demander quelques informations supplémentaires à l'intérieur de l'établissement, mais, les clients arrivant au même moment sous une pluie battante, j'ai préféré laisser ma place pour aller continuer mes recherches dans la zone. Je mettrai cette description à jour une fois que j'aurai le fin mot !
La traversée est aujourd'hui bloquée. De plus, des deux côtés, les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Même scénario de chaque côté: après avoir remonté le couloir, je me retrouve face à une porte fermée que je ne peux ouvrir. Un petit espacement me permet tout de même d'apercevoir la cour, & la preuve de l'existence de la traboule. Si j'ai eu l'air ridicule à me tortiller & me faufiler derrière des poubelles pour voir par un trou de souris, je sais au moins que la traboule peut théoriquement être empruntée par quiconque dispose des clés de chaque porte. Elle n'est donc pas condamnée en soi, mais bloquée, certainement pour des raisons de sécurité ?
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La porte du 3 Girin est condamnée, ou tout du moins plus du tout utilisée. En témoigne le panneau accolé au-dessus de la porte. On peut sans problème voir la porte en passant par l'allée du 5 Confort. Allée par ailleurs 'dans son jus', mais qui lui procure un certain charme. Une toute petite cour étriquée au fond, qui sert malheureusement à entreposer les poubelles communes. La cage d'ascenceur a considérablement réduit sa taille, rendant son aspect biscornu encore plus prononcé.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule impressionante de par sa taille, le nombre d'habitations qu'elle dessert & l'esthétique qu'elle dégage. La traversée est presque anecdotique en soi, puisque passer par l'extérieur reviendrait exactement au même, mais la sensation qu'elle procure vaut à elle seule son existence. Si je n'oublie pas -& si j'ai oublié d'ici là, envoyez-moi des messages de rappel à l'ordre-, je posterai un plan de ce dédale de couloirs, desservant sauf erreur de ma part, 4 entrées d'immeubles. Je reviendrai dans tous les cas sur place avec un peu plus de temps devant moi, mais il me semble qu'une ou plusieurs allées de la rue des Marronniers juste derrière communiquent avec le tout. En attendant une confirmation, je vous poste photos & premières constatations dans la page dédiée à la traboule.
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Couloir en ligne droite, on ne peut plus simple. Une cour carrée assez grande, mais très ressemblante à celles des immeubles de la place Bellecour, trône au milieu des façades. Toutefois, une grille qui ne m'a pas semblée ouvrable coupe aujourd'hui la traversée.
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Traboule coudée entre les deux rues. Couloirs d'entrée très simples &peu notables, mais une jolie cour, séparée en deux en hauteur par les escaliers suspendus comme on en trouve peu dans le quartier.
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Traboule avec une ambiance très privative, dans des allées très cossues. Les portes permettant d'accéder à la cour au milieu de la traversée sont d'ailleurs fermées à double tour. Dommage pour mes yeux, puisque la cage d'escalier qui y est visible est particulièrement jolie. Traversée exsistante donc, mais possible uniquement pour les résidents ayant les jeux de clés.
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Superbe traboule, & en permanence ouverte du côté du musée. Je ne peux pas le garantir pour les horaires nocturnes, mais quoiqu'il en soit, il se serait bête de se priver de lumière en allant la voir. Passez donc par le 13 Poulaillerie, par l'entrée desservant le Musée de l'Imprimerie. La cour Maurice Scève ne fait pas partie de la visite de celui-ci, & est totalement indépendante. Vous pourrez y voir, après ces belles voûtes d'ogive à l'entrée, un moulage des Tables-Claudiennes, & d'autres jolies choses que je vous laisse le plaisir de découvrir; mais croyez-moi, il fait bon y faire un petit détour. Si la grille vous le permet, vous sortirez au 2 Forces, en apercevant les cuisines du restaurant, situées dans la cour dite 'cour Bonaventure des Périers'. Personnage illustre de la renaissance littéraire à Lyon, il a aussi à son compte quelques travaux d'édition. Je vous laisse donc faire le raprochement quant à son hommage dans cet endroit saugrenu !
La traversée peut s'effectuer en toute simplicité, tout du moins de jour. Si la porte du 2 Forces est fermée, cela arrive parfois, vous pourrez dans tous les cas rentrer par le 13 Poulaillerie. Rappelez-vous que, même si la cour est accessible, des gens vivent derrière ces fenêtres ! Soyez discrets & respectueux.
En remontant l'allée de la rue Neuve, & en démasquant le local poubelles, je me rends compte que des planches de contreplaqué sont installées pour empêcher la traversée. C'est en face, rue Mulet, que je découvre une porte condamnée qui bloque l'accès elle aussi. En regardant les vues satellites, la traversée semble totalement existante, & propose même une cour desservant les bâtiments voisins. Mais entre, banques, restaurants, locaux professionels, planches de contreplaqué & j'en passe, je ne franchirai pas la limite ne pas franchir. Je passe donc, logiquement, les 2 entrées en condamnées.
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A ma connaissance, cette traboule est toujours ouverte, & est extrêmement pratique puisque s'enchaîne à la Cour des Voraces au-dessus, permettant une traversée des Pentes à la vitesse de l'éclair. Le dénivelé entre les deux rues est compensé par un escalier, débouchant sur une jolie cour à laquelle mes piètres photos ne rendent pas hommage. En sortant ou entrant rue des Tables Claudiennes, profitez des jolies façades du Nombril du Monde & du BistrO d'à Côté qui habillent élégamment la rue, très à l'image de ce quartier.
Les allées sont tout le temps ouvertes. Rappelez-vous, si vous empruntez la traversée, que vous marchez au milieu des habitations. Des gens vivent derrière ces fenêtres, & c'est leur cour que vous empruntez. Soyez discrets, respectueux.
Le Passage Mermet est un escalier bien connu des lyonnais, mais aussi de toutes les personnes qui ont Instagram. Reliant la rue Burdeau (34-36) à la rue Leynaud (25), un petit passage voûté débouche sur un imposant escalier typique des Pentes. C'est sa peinture en anamorphose qui en fait sa célébrité ; éclipsant tout son côté pratique. Il est ouvert en permanence, & s'apparente plus à une rue qu'à une des innombrables traboules en allée privée comme on les imagine.
Le passage est tout le temps ouvert & empruntable.
En entrant par la rue des Capucins, c'est un classique qui nous attend: un couloir desservant l'escalier des allées, fermées par une porte grillée. La traversée devient plus intéressante par la suite, avec une jolie première cour. Nouveau couloir avec un dénivelé de quelques marches, qui me fait alors sortir sur une superbe deuxième cour, très fleurie, tout en longueur, avec de jolies façades. On peut même y voir en contrebas les reste d'un ancien puits.
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En entrant par la rue Leynaud, je découvre un couloir on ne peut plus classique, & directement un escalier d'une dizaine de marches qui me fait rattraper le dénivelé entre les deux rues. Première surprise, une première cour avec une très jolie tour qui l'habille. Nouveau couloir, puis nouvelle cour ; celle-ci très grande & très surprenante de par sa forme & sa disposition. Différentes couleurs habillent les murs, tout y est très lumineux, bien loin de ces innombrables cours étriquées que j'ai arpentées bien trop de fois. En en sortant, & avant de rejoindre la rue, on peut apercevoir à gauche & à droite, les portes d'entrées du 3 & du 5 Capucins, respectivement de chaque côté.
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Il me semble, de par mes expériences & trajets personnels, que la porte du 6 Capucins est toujours ouverte. Tout du moins en journée. Ce ne sera pas le cas de la grille côté Sainte-Marie-des-Terreaux. La traversée ne sera donc pas possible à n'importe quel moment, mais il est possible de jeter un oeil à la cour centrale facilement. Celle-ci est par ailleurs très jolie, fleurie, grande, aux jolies façades. La porte de traversée se trouve au fond, & amène directement sur un couloir coudé, sortant sur une 'cour' non-fermée. L'escalier y rejoint alors la grille de sortie & la place des Capucins.
La porte du 6 Capucins est à priori toujours ouverte, tout du moins en journée. Si vous décidez d'aller regarder la cour, soyez respecteux & discrets, des gens vivent derrière ces fenêtres. Les panneaux métalliques accrochés un peu partout à l'intérieur sauront vous le rappeler.
L'énorme porte au fond de l'Impasse Blandan est la sortie de cette traboule, aujourd'hui condamnée. Ou tout du moins, je doute que grand monde est la clé permettant de l'ouvrir. En entrant par la rue Terme, ce sont deux portes fermées à franchir avant d'arriver à la cour, où l'on peut en effet constater le verso de cette fameuse porte. La cour vaut le coup d'oeil, même si très petite, essentiellement pour sa jolie cage d'escalier qui l'habille.
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Jolis carreaux au sol du couloir en entrant par Blandan. La cour est coupée en deux par un superbe escalier que je ne m'attendais pas à trouver dans cette petite traboule. Rien de bien notable en dehors de ces deux points.
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Toute petite traboule coudée, sans intérêt réel ; passer par l'extérieur serait même plus court. La porte du 21 m'a tout l'air d'être définitivement hors d'usage par l'extérieur, & je n'ai même pas pu y accéder par l'intérieur. Certainement question de sécurité pour le café qui se trouvait à l'angle des deux rues. Dans tous les cas, sécurité ou non, personne n'aurait eu de raison d'emprunter ce couloir.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
De chaque côté, un petit en carreaux de ciment, mon péché mignon. La cour elle est très alambiquée, biscornue, puisque c'est elle qui coude la traboule. Une jolie cheminée rouge y est par contre présente, ce qui rajoute encore à son ambiance unique. La porte de tarversée existe bien, j'arrive à l'atteindre de chaque côté, mais est fermée.
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S'il y a bien, rue des Pierres Plantées, la signalétique touristique de la ville, je n'ai jamais vu la porte d'entrée à la cour ouverte. Vous pouvez vous avancer un peu dans le couloir avant de vous retrouver face à la grille fermée séparant fermement la partie privée. Dommage, puisque la cour a l'air superbe ; mais je m'arrêterai là ne voulant pas outrepasser certaines limites. De l'autre côté, dans cette curieuse rue qu'est la rue Calliet, coincée entre bâtiments & rues très empruntées, la porte me permet d'apercevoir la même cour. Encore une fois, par souci de vie privée, je n'irai pas plus loin. Toutes mes excuses pour le peu d'images dans l'article de cette traboule, mais il est parfois tout un art de en pas photographier des détails ou données personnels des résidents.
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Quartier de la xRousse où il est très compliqué de se faufiler, comme en témoigne les traboules voisines que j'ai relevées. En entrant par la rue Raymond, je distingue bien la porte permettant d'aller à la cour, & peux même l'apercevoir par la fenêtre de l'escalier. Tous les accès étant fermés, & soupçonnant une cour très privée dans laquelle je n'ai pas à poser mes sales pattes, je n'insiste pas de ce côté. Rue Rast Maupas, même échec. C'est une habitante de l'immeuble que j'interpelle qui aura la gentillesse de me confirmer que la traboule existe en effet. Je l'ajoute donc à la carte grâce aux dires de cette gentille personne, mais la note bien évidemment en fermée.
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De chaque côté, un petit couloir dessert une superbe cour. Non pas par sa grandeur, mais par son décor & son ambition de puits de lumière qu'elle essaie d'atteindre. Même si peu lumineuse, car très en hauteur & étriquée, les pierres & les voûtes qui l'habillent en font tout son charme. Son style est très différent de tout ce qu'il m'a été donné de voir jsuque là. Concernant l'accès, il est intéressant de noter que le 12 & le 14 Dumenge ont fusionné, on peut apercevoir l'ancienne porte condamnée du 14 dans la rue. Témoin en est aussi l'intérieur, avec la porte murée & l'accès bouché.
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La porte côté Soulary est aujourd'hui condamnée. Par le 4 Belfort, je rejoins une petite cour sans trop d'intêret, cachée derrière l'escalier massif. J'en distingue bien une beaucoup plus imposante derrière le mur, mais je n'ai pas réussi à la rejoindre, ni par le 4, ni par le 2. Je repasserai plus tard en essayant de comprendre ce que j'ai pu râter, & de voir si tout semblait communiquer un jour.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule étonnante, unique & incongrue, qui aura toujours été ma préférée des environs depuis que je l'ai empruntée la première fois. Elle traverse en effet une très longue zone, tout un pâté d'immeubles, par de longs couloirs extérieurs. A l'intérieur, se répérer sur son avancée reste tout du moins facile, grâce à la vue de toutes les habitations qui nous entourent & sur lesquelles on peut avoir un très joli recul. Les 2 couloirs d'entrée des allées & ceux faisant la transition sont en bonus très agréables, remis à neuf, & entretenus. Bref, curieuse & superbe traversée.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Le passage Dumont n'est, sur le papier, qu'un long couloir extérieur coudé, permettant de communiquer entre les deux rues. Mais le plaisir que j'ai chaque fois à l'arpenter n'a d'égal que la complexité à avoir créé ce site. Ses jolies façades, ses détails partout, son ancien bâti, son lierre au mur, sa tranquilité, tant d'atouts pour ce qui n'aurait pu être, en fin de compte, qu'une ruelle lambda.
Le Passage Dumont est ouvert en permanence. Aucune grille, aucune porte, rien ne vous empêchera de l'emprunter, ressemblant d'ailleurs bien plus à une rue qu'à une traboule comme on peut se l'imaginer. Si vous décidez d'y glisser vos yeux, respectez sa tranquilité & les gens qui y habitent, soyez discrets !
En prenant chacune des allées, je retombe en effet sur la même petite 'cour'. Un ancien portillon au niveau du mur de séparation de celle-ci me laisse deviner que la traversée était existante. C'est un gentil résident de l'immeuble qui me confirmera qu'il y avait bien un escalier au niveau de cette cour, qui reliait donc les 2 rues en rattrapant le dénivelé induit par les Pentes. Aujourd'hui détruit, la communication n'est plus possible; sauf en sautant au risque de se briser les jambes, ou en ayant une très grand détente pour passer les 5 mètres de mur. Mais prenez la rue plutôt, le risque n'en vaut pas la chandelle. Les couloirs d'accès sont tous les 2 très différents, comme souvent dans cette partie du 1er, où, d'une rue à l'autre, tout change du tout au tout. Je note donc la traboule en condamnée: elle existe, mais le passage ne sera plus jamais possible, malheureusement.
Les allées sont privées, fermées & condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule en angle droit, dont la traversée fut sûrement libre jusqu'il y a quelques années, puisque maintenant, une porte en métal récente empêche de rejoindre la cour centrale par la rue Pouteau. Elle est toujours réalisable certes, par qui dispose de la clé en question. Mais je ne suis pas sûr que les résidents l'aient. Dommage, puisque dans la très jolie allée du 20, un escalier est spécialement dédié à la cour, ne desservant rien d'autre, & perdant donc totalement son utilité. Cette dernière, visible par Imbert-Colomès donc, bien que petite, est très lumineuse & fournit un joli puits de lumière à l'ensemble des fenêtres l'entourant.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Selon mes sources de base, dont je me suis servi pour mes repérages, la rue Capponi serait catégorisée en traboule ; je m'y réfère donc, & l'indexe sur ce site. Cas similiare pour de nombreux passages des environs -Mermet, Thiaffait, etc-, qui ressemblent bien plus à des ruelles qu'à ce qu'on pourrait imaginer pour une traboule. La rue Capponi vaut tout de même clairement son détour, étant en plus tout le temps ouverte. Très étroite & courte, & bordée de jolies façades colorées, de floraison diverse & incongrue, on y retrouve plein de détails du temps, d'une pierre à fossile au street-art en perpétuelle évolution.
La rue Capponi est empruntable librement à n'importe quel moment. Prenez plaisir à y flâner, mais soyez-y discrets & respectueux. Des gens vivent derrière ces fenêtres !
En entrant par la Grande-Côte, on découvre une très jolie allée de pierre, avec son grand escalier, & une toute petite cour embusquée. 3 paliers d'escaliers plus tard, je rattrape enfin le dénivelé avec la rue Capponi, & débouche sur un jardin privatif, qui permet la traversée en parrallèle de la rue des Tables-Claudiennes. Cet endroit privé est d'une quiétude rare, & très agréable à arpenter. La sortie se fait par le couloir coloré, donnant sur cette fameuse rue Capponi, considérée à elle seule comme une traboule.
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Très connu & très emprunté, le Passage Thiaffait est un icontournable des Pentes. Je ne vais pas ici décrire son histoire & sa création, ce n'est pas le but de ce site, & bien d'autres, spécialisés, le feront mieux que je ne le ferai jamais. Concernant la traboule en elle-même, je vous invite à vous y rendre si vous découvrez le quartier, cette traversée étant très originale & agréable. Que ce soit de par sa forme, son street art ou l'Histoire qui y reigne, c'est une très bonne visite pour qui flâne dans les Pentes. A noter, lorque vous entrez par la rue Burdeau, du côté du 30, vous verrez en bas du premiier escalier la grille du 30bis, qui elle aussi traboule plus bas. Par choix de simplicité & de lisibilité, j'ai choisi de les séparer, mais ce ne sont au fond qu'un seul & même 'bloc'.
Le Passage Thiaffait est ouvert en permanence. C'est une rue empruntée par tous les lyonnais qui dévalent ou escaladent les Pentes. Vous êtes totalement libres d'y flâner.
Perdue au milieu du passage Thiaffait, le 30bis semble ne pas exister ; une traboule dans la traboule. S'y cachent pourtant une très jolie cour, spacieuse & lumineuse, aux façades de détails, & un imposant escalier en son fond, qui grimpe sévèrement pour rattraper la grille du 30bis.
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Si la porte est condamnée au 10, on peut y apercevoir à travers les barreaux la joliesse de ce qui nous attend en pasant par la rue des Capucins. En effet, le 7 débouche non pas sur une allée, mais sur une véritable petite ruelle montante, qui dessert 2 blocs de bâtiments. Certains endroits murés me laissent soupçonner que l'ensemble faisait partie d'un plus grand complexe avec les immeubles environnant ; mais je n'ai malheureusement pas réussi à élucider le mystère sur place. J'y reviendrai, en complément de recherches Internet pour mettre à jour le tout. Enfin, observez le sol lors de votre ascension, vous y verrez plein de traces du street-artiste Ememem, qui comble les nids-de-poule de Lyon & d'autres villes avec de petits carreaux de mosaïque. Il semble avoir apprécié cette petite ruelle, pusiqu'on en retrouve en quantité, avec une minutie des plus remarquables.
L'allée du 10 Leynaud est privée. Le 7 Capucins en revanche peut-être emprunté librement à toute heure pour y glisser un oeil curieux. Rappelez-vous cependant que vous frôlez les habitatins de gens qui vivent là. Soyez discrets & respectueux !
Relativement anecdotique, c'est une petite traboule coudée qui se cache là. La traversée est courte, & la cour peu remarquable, très étriquée. De plus, toutes les portes grinçant, j'ai eu un mal fou à ne pas réveiller les résidents, en cette heure matinale. Quelques photos pour illustrer mon passage, mais malheureusement rien de notable ici.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Très suprenante. Si sa traversée est très courte, je ne m'attendais pas à trouver une telle architecture derrière ces portes. Impossible pour moi de vous retransmettre des photos correctes, en raison du contre-jour effroyable de cette petite 'cour' étroite. Imaginez-y une vue sur l'extérieur encastrée entre 2 minuscules couloirs étriqués, parée de murs de pierres lisses, à la hauteur déconcertante.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traversée qui ne se fera qu'en intérieur, par un couloir coudé. La cour est en effet devenue privative, & appartient à un résident du RdC. Elle est tout de même visible par la traboule voisine.
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Traboule coudée, mais le 1 Pouteau est aujourd'hui condamné. Jolie cour en fond de couloir, où on peut admirer un joli puits ancien. C'est aussi l'occasion de passer la tête par-dessus la barrière & d'apercevoir la cour de la traboule voisine en contrebas, qui est devenue privée.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Probablement la traboule la plus connue, visitée, & photographiée de toute la ville. & il y a de bonnes raisons. Son accessibilité déjà: ouverte en permanence, de jour comme de nuit. Sa taille aussi, puisqu'elle traverse une longue distance. Son décor ensuite: un escalier impressionant à l'entrée par Colbert, une coupure au milieu par une ruelle pavée entourée de belles façades colorées, &, bien sûr, ses boîtes aux lettres, sûrement les plus festives de toute l'aglomération. Son histoire, enfin, puisque la Cour des Voraces rappelle les canuts, leur combat, & bien d'autres moments de l'Histoire, où toutes ces traboules qui ne sont devenues que des attraits touristiques, étaient ces passages secrets qui permettaient à qui les connaissait de se faufiler, fuir, se regrouper. Si vous êtes un habitué de ce site, vous savez que je ne m'étale pas sur les détails historiques, architecturaux & autres, me contentant de décrire, très prosaïquement, ce que je vois au détour de mes escapades. Je continuerai sur ma cette ligne directrice pour cette traboule, mais je meurs pourtant d'envie de vous en parler pendant des heures. Je vous joins donc les plaques touristiques en photo, & vous invite chaudement à faire quelques recherches sur ce lieu, mais aussi sur tout ceux que vous pouvez visiter par ce site. Ce ne sont pas les ressources qui manquent.
La Cour des Voraces est totalement ouverte, à n'importe quelle heure, par ses 3 entrées. Je vous conseille vivement d'y flâner si vous n'en avez jamais eu l'occasion, mais vous rappelle que des gens y habitent. Soyez discrets, respectueux du lieu & des résidents.
Deux étages d'escalier permettent de rattraper le dénivelé entre les deux rues. & quel escalier, quelle allée ! Tout semble hors du temps. La cour est malheureusement inaccessible pour moi, bien trop privative pour qui j'y mette mes Vans en piteux état de toutes ces balades. Plutôt que d'essayer de pousser la porte & de déranger les riverains, je vous encourage à prendre l'escalier biscornu extérieur, qui permet de rejoindre exactement les mêmes points, & auquel je trouve toujours un certain charme.
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Escalier massif & insoupconné dans cette allée, dont il faudra gravir pas moins de 3 étages pour rattraper le dénivelé entre les deux rues. La cour est visible mais n'est malheureusement pas accessible. Jolie traboule donc, différente & surprenante.
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L'une de ces typiques traboules de l'Annonciade, aux balcons traversant de part & d'autre; vertigineux. En entrant par le haut, c'est un étage plus bas que la cour se laisse rejoindre, avec la sortie à l'Impasse Rey fermée à clé.
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En entrant par la rue de l'Annonciade, c'est 1 étage & demi de dénivelé plus bas que je rejoins l'impasse Rey. Traboule & dans l'esthétique parfaite de ses voisines de la rue, aux traversées suspendues & à la sensation de vertige intense. Malgré la toute petite cour étriquée, on peut y apprécier les facades qui nous surplombent, & celles du 22 en prime en prenant un peu de recul.
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Nous sommes bien rue de l'Annonciade, peu de doute ici: une cour étriquée qui donne une vue incroyable sur les hautes façades aux passages suspendus. La sensation de vertige a été encore plus grande dans celle-ci, sûrement amplifiée par l'étroitesse des lieux. La traversée, comme ses voisines, est toujours possible.
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Traversée en couloir rectiligne, passant tout de même par une cour intéressante. Outre la jolie vue sur les escaliers qui desservent les allées, c'est l'ancien mur décrépi avec la trace d'anciennes entrées murées qui attirera le plus mon oeil. Si la traboule existe, le passage par la porte de la Rue du Boeuf est aujourd'hui bloqué, sûrement en attente de rénovation ? Enfin, la plaque extérieure nous rappelle l'Histoire des murs, & je cite le site officiel de la ville: 'La maison, construite au XVe siècle abrita une riche famille de marchands drapiers et appartint plus tard aux grands-parents de Lamartine.'.
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Il ne reste aujourd'hui malheureusement plus grand chose de cette traboule. En passant par le quai, un petit couloir sur cour propose ce qui reste de l'ancienne traversée: une porte murée récemment, probablement au moment du rénovement cossu, qui condamne définitivement le passage secret. Rue des Trois-Maries, c'est en effet une devanture abandonnée & des portes bloquées qui me laissent frustré face à cet endroit que je ne verrai certainement jamais de ma vie.
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En entrant par le quai, 10 marches suivi d'un long couloir courbé, carreaux de ciment au sol, nous emmmène doucement vers la suite de la traboule. Après un petit plateau de 3 marches débouchant sur l'escalier à vis principal de l'immeuble, c'est une très belle cour qui s'offre à moi. De de ses détails & ornements est créé son originalité: une tour, un puits, & en bonus un petit lampadaire incongru. Ses balustrades, balcons & façades sont tout aussi plaisants. Allée récemment rénovée, & d'une propreté absolue. Malheureusement, la sortie rue des Trois-Maries est fermée à clé, & me prive ce jour d'une traversée complète, pourtant bien existante.
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Difficile d'apprendre ou d'indexer ici quelque chose qui n'a pas déjà été dit, puisque 'La Longue Traboule' est probablement l'une des plus connue & touristique du secteur. Permettant la liaison entre les deux rues principales du bas-5ème, elle y justifie donc son utilité & son taux de fréquentation, tant par les lyonnais que les étrangers. Beaucoup de détails historiques & architecturaux sont disponibles de-ci de-là, & sans aucun doute mieux décrits par ces professionnels que par moi. Pour la décrire sommairement, c'est une longue traversée de par sa distance, scindée en divers couloirs & mignonneries qui relie ces deux rues, & qui entrecoupe pas moins de 5 cours, toutes plus différentes les unes que les autres. Je la note ici en fermée, même si la porte ne demande qu'à être poussée, tant le tourisme y est abondant, & le secret de polichinelle. Il y a même une plaque de la ville donnant son existence à côté de la porte. Mais, si vous avez déjà parcouru quelques pages de ce site, vous saurez sans surprise que je n'encourage jamais à ouvrir une porte qui ne l'est pas déjà. J'en appelle à votre discrétion & votre respect donc, vous rappelant, inlassablement, que des gens vivent derrière ces fenêtres que photographiez pour Instagram.
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Par la rue du Boeuf, un tout petit couloir dessert l'énorme cour sur deux niveaux qui fait toute la puissance visuelle de cette traboule. La partie basse de celle-ci dessert au Sud les numéros 10 & 14 de la rue de la Bombarde. L'immeuble ancien présente encore des vestiges de sa vie passée, puisque sur cet hostile mur de pierre, on voit encore les traces d'un ancien accès & escalier. Très jolie traboule donc, particulièrement originale, à admirer pour son grand espace aéré, ses belles facades & tours d'escaliers. Enfin, en passant au 10 Bombarde, levez la tête pour observer au-dessus de la porte, la.. bombarde !
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Chanceux, je passe juste avant une rénovation imminente ; ce qui me permettra d'immortaliser le tout dans mes souvenirs & mon appareil photo. Le long de la traboule, la desserte des appartements se fait de part & d'autre des deux couloirs & de la cour. Cette dernière, allongée & bordée de vieilles facades, appelle à la flânerie & contemplation. Quelques détails amusant sur le sol: un fossile & un écrit dont je retranscris l'intégralité dès que je suis certain de sa nature. J'en profite donc en attendant pour vous mettre la photo du chat, qui de ses yeux étonnés de me voir passer matinalement, me juge du haut de sa fenêtre.
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Très curieuse. Le couloir de traversée s'ouvre timidement sur la cour en entonnoir, & l'escalier en amont dessert les habitations. La porte rue Mandelot n'est selon moi qu'une sortie, & m'a même paru condamnée au premier regard.
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Montée du Gourguillon oblige, dénivelé très important pendant la traversée. Si la grille centrale est fermée, j'arrive tout de même à la rejoindre à partir de chaque côté, la traversée est donc encore existante. Si la partie donnant sur le Gourguillon est très '5ème', l'allée côté Saint Georges est quelque peu surréaliste, entièrement refaite à neuf dans un style improbable pour le quartier.
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Très peu à dire ici, puisque les accès très privatifs ne m'auront pas laissé champ libre à la découverte. La traboule existe encore, en témoigne la plaque dans la cour, mais je ne peux vous le confirmer de mes propres yeux. Je remettrai cette description ainsi que les photos à jour dès que je serai passé.
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Relativement anecdotique, puisqu'un simple escalier débouche à l'entresol sur la rue Saint Georges. Seule la porte ancienne qui s'y trouve contraste avec la traversée cossue.
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Couloir rectiligne cossu, donnant sur une cour surélevée de 3 marches. Les balcons fleuris, auxquels mes photos ne rendent pas hommage en raison du contre-jour du ciel laiteux, régalent mes yeux. Un puits ancien rajoute au décor féérique.
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Peu de doute, nous sommes bien dans une traboule de la rue Royale. Il est amusant de voir comme toutes celles du quartier se ressemblent lors d'une traversée rapide, mais se distinguent après recul de leurs détails propres. C'est ici un couloir rectiligne, avec 8 marches à dévaler pour atteindre la cour. Celle-ci, comme ses voisines, avec ses escaliers ouverts de chaque côté qui desservent les appartements. Un petit puits est toujours présent.
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Je me sens tel un prince, lors de ma traversée de cette allée cossue. Escalier royal de 13 marches sur cour, qui rattrape le dénivelé entra la rue éponyme & le quai. Rien de réellement notable, mais très jolie.
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Traversée rythmée par un escalier de 6 marches, une cour, & de nouveau 6 marches. Une fontaine intriguante mais récente trône au milieu de la cour étriquée. Tout me laisse croire que la traboule communiquait aussi avec le 2 Violi au Nord, mais je n'arrive pas à en avoir la certitude. Je joins une photo de la porte en question, en attendant de pouvoir confirmer mes dires après quelques recherches.
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De toutes celles que j'ai visitées dans la zone, celle-ci est une exception avec le 33 de la même rue. En effet, la traboule peut se parcourir par 2 moyens: ou en empruntant la traversée suspendue au même niveau que l'entrée rue Royale, ou, via la cour en contrebas. Ce seront 19 marches à dévaler pour s'y rendre, embusquées sur le côté de l'axe rectiligne. Ce qui reste comme vestiges dans la cour semble tout à fait être une ancienne fontaine, avec une représentation de la Vierge à l'Enfant en son haut, mais je n'arrive pas à comprendre l'utilité de cette 'manivelle' que l'on voit en bas. Je joins une photo en gros plan en espérant que quelqu'un lisant ceci puisse éclairer ma lanterne, & je continue mes recherches de mon côté pour mettre à jour la desription. Encore ici une preuve de ma culture achitecturale approximative, mais en espérant que mon humilité vous donne l'envie de l'excuser.
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Curieuse de son décor & de son cheminement. Un étage complet à descendre, depuis la rue Royale, pour redescendre 3 paliers plus bas le niveau du quai. L'escalier sépare en deux une cour, où si à droite l'accès est impossible à travers les murs vitrés, la partie gauche elle mélange habilement toutes les époques en fiasant cohabiter les poubelles & un ancien puits.
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Traversée totalement possible par la cour centrale, d'où on peut apercevoir la passerelle suspendue qui a la même utilité. Un étage entier est nécessaire pour rattraper le dénivelé des deux côtés. Si l'allée du quai est rénovée de carrelage & est très peu plaisante à mon oeil qui aime la vieillerie, l'immeuble rue Royale fait honneur aux traboules voisines, en étant bien dans son jus.
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Je ne pensais absolument pas trouver une traboule ici, persuadé que les archives dont je me suis servi pour le repérage étaient fausses. Mes excuses donc aux personnes qui l'avaient notée avant moi, il y a en effet une communication entre les 2 allées. Traboule curieuse en effet, elle rejoint 2 immeubles voisins sur la même rue. La symmétrie des deux est très agréable à l'oeil, agrémentée de ses tours d'escaliers sur cour. 'Cour' étant un bien grand mot, pusique c'est surtout un petit passage étroit à l'air libre, utilisé par les habitants comme garage & stockage.
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L'une des plus connue & empruntée de Lyon, & ce pour plusieurs raisons. En premier lieu, la Cour des Moirages est en permanence ouverte, & permet un raccourci extrêmement pratique. Deuxièmement, sa valeur historique. En effet, cour de l'ancien monastère des Feuillants du XVIIème, elle a eu par la suite plusieurs utilités, portant aujourd'hui le nom de 'moirage', vêtement d'époque en soie dont les canuts venaient effectuer la confection dans ce lieu. Visuelle & architecturale aussi, puisque entre son porche, le cloître en lui-même, & sa traversée originale & à perte de vue, vos yeux y seront ravis. Elle communique indirectement avec l'escalier des Feuillants & sa traboule qui en découle, le tout appartenant au même ancien bâtiment. N'hésitez pas à y balader vos jambes & vos mirettes, vous y trouverez tout le charme de cet ancien Lyon, perdu & dissimulé entre immeubles & métro.
La Cour des Moirages est ouverte en permanence, par les 3 accès que j'ai notés ici.
Allée surréaliste, comme on en trouve dans cette discrète rue de l'Annonciade. L'énorme escalier spirale qui nous acceuille donne le ton de la visite, avec son plafond vitré. Un demi-étage plus bas, j'arpente la cour, d'une architecture & d'une forme encore jamais vues jusque là dans mes escapades. Un puits y trône même encore, en superbe état. Seule contrariété, la sortie sur l'impasse Rey est aujourd'hui condamnée.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traversée par un couloir rectiligne au possible, dans une ambiance glauque & délabrée. C'est pourquoi la cour à mi-chemin a réussi ici son effet de surprise. Vertigneuse, lumineuse, & surtout adorablement fleurie sur ses balcons, je tire mon chapeau aux résidents qui semblent avoir la main bien plus verte que moi. Un escalier massif y est accolé, & propose sur sa droite une deuxième 'petite cour' à l'air libre, mais peu notable.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule en angle droit. Malheureusement, toutes les portes intérieures donnant accès à la cour sont fermées, & m'empêchent d'aller vous chercher quelques photos. Je peux tout de même confirmer la communication des trois allées, apercevant la logique de la traversée par les fenêtres des escaliers. Je vous joins les photos, en espérant que vous compreniez tant bien que mal l'organisation de cette traboule.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Originale, puisque l'entrée/sortie rue de la Martinière ne donne pas sur une allée privée, mais directement sur une avancée, un renfoncement entre les immeubles. La traboule existe bien, & j'accède à la même porte par un sens ou par l'autre. Elle semble tout de même fermée, mais je ne pourrais vérifier, sans quoi les habitants m'en auraient voulu de déménager leurs vélos.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Petite traboule coudée, & originale. Une toute petite hauteur sous l'escalier central me permet de me glisser dans la cour déportée. De jolies façades m'attendent, agrémentées de l'escalier sur cour & d'une vue sur le ciel semi-vitrée. Mes photos ne rendent pas hommage à la chose, le ciel blanc laiteux & l'effet goulot de lumière infligeant aux capteurs une surexposition ignoble. Quand le ciel d'hiver s'en sera allé, je repartirai y photographier le ciel bleu pour me faire pardonner.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traversée rectiligne, sur escalier. Un palier de 12 marches, puis un de 10, seront nécessaires pour rattraper le dénivelé. sur chaque côté, deux petites cours sur ciel permettent de profiter d'une vue à contre-plongée des plus agréable. La porte rue Terraille est malheureusement condamnée, mais nous propose en échange une élégante vielle pancarte indiquant la traboule & son accès.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Au sein de cet impressionant immeuble, se cache une traboule à 4 accès. J'y distingue la cour qui relie les 4 allées, mais impossible de dialoguer avec les portes fermées, qui me refusent fermement l'accès. Au 15 Terraille, qui est aujourd'hui l'entrée d'un parking privé, je n'ose même pas passer le bout de mon nez. Frustré de ne pouvoir retranscrire & immortaliser en quelques photos l'espace central qui me semble superbe, j'interpelle une habitante, au ilieu de son déchargement de courses. Légitimement méfiante, mais d'une gentillesse sans précédent une fois patte bmanche montrée, c'est elle qui me confirmera que la traboule existe bel & bien, mais que la régie de l'immeuble en ferme l'accès à double tour. Je la laisse donc en 'fermée', mais elle est réellement condamnée pour quiconque n'est pas employé de la régie possédant un double des clés. Triste.
Les allées sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Pas moins de 3 étages & demi de dénivelé seront nécessaires pour traverser ce dédale. D'une symmétrie de construction satisfaisante, le tout s'articule autour d'une cour au niveau de la rue Magnéval, très privative. La descente par les escaliers permet de savourer la vue à travers les fenêtres, d'uatant plus par le 5 Bodin, où tout est plus coloré & visuellement chatoyant.
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Traboule avec un demi-étage de dénivelé pour compenser l'écart des rues. Par la rue Burdeau, l'accès est fermée à double tour par une grille, mais la rue du Jardin des Plantes me permet de me faufiler dans la cour par une porte embusquée. D'une forme inhabituelle, on retrouve pourtant ces couleurs très typiques des façades du 1er. Le mur de plusieurs mètres que je peux y voir semble m'indiquer que la passage vers les allées voisines a pu être possible. Je me renseigne & complète cette description quand j'aurai le fin mot.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Un étage entier de dénivelé pour venir à bout de cette traversée. Une cour sur le côté sert de débarras & de stockage de poubelles a le mérite d'exister ; bien que laissant peu rêveur. Pour être tout à fait franc, la traversée rectiligne ne sauvera pas cette traboule, pusique d'un ennui total dans une allée désuette.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la rue Burdeau, un demi-étage à gravir, pour accéder à l'escalier, qui dessert un étage & demi plus bas, la traversée. Malheureusement, fermée à clé dans ce sens. Par la rue du Jardin des Plantes, je finis par réussir à accéder à cette 'cour', sale & étriquée. Peu notable donc, mais aura le mérite d'exister & de na pas être condamnée -pour l'instant-.
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Par une porte cochère de chaque côté, c'est une large traversée rectiligne princière en ligne droite qui s'offre à moi. Les plafonds s'arrêtent pour laisser la cour baigner de lumière l'immeuble, en son centre. Symmétrie parfaite en tout point, jusqu'aux ascenceurs extérieurs modernes, qui apportent eux-même une esthétique des plus satisfaisante. Les couloirs eux, desservent les bâtiments des habitants. Jolie traboule cossue.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Anecdotique & quelque peu triste. En effet, un minuscule couloir rectiligne est censé assurer la traversée, mais la sortie rue Salles est condamnée & sert d'accoudoir aux poubelles de l'immeuble. A l'extérieur, le numéro 4 n'y est même plus indiqué, mais l'entrée au pilier central garde un certain charme.
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Discrètement dissimulé en contrebas de la rue Claudia, le 3, à côté de la porte d'entrée de l'immeuble, propose une grille qui me laisse apercevoir la traversée. J'y distingue donc le couloir dans la pénombre, au bruit de soufflerie pour seule trace de vie, qui rejoint le quai en face. Même chose donc de l'autre côté, la grille est fermée, & le panneau laisse même sous-entendre que cet accès est condamné. La traboule est peut-être sûrement accessible par une porte latérale qui communiquerait avec une des allées, mais je n'arrive à distinguer de porte, donc je ne peux l'affirmer. Quoi qu'il en soit, le passage d'un côté à l'autre ne se fait plus aujourd'hui.
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Complètement condamnée. En entrant dans l'allée du 32 République, je n'arrive même pas à trouver l'ancienne porte qui permettait la traversée. En montant l'escalier central & en regardant par la fenêtre, je confirme l'alignement avec la rue Palais Grillet, où une porte totalement condamnée me confirme la disparition de cette traboule. Le numéro y est pourtant encore indiqué ; & la façade & la porte présentent un certain charme, maigres souvenirs qui, eux aussi, sont sûrement voués à disparaître.
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Fidèle à la rue Mercière, encore une jolie traversée ici. Tout y est en symétrie parfaite, & vous commencez à connaître mon amour pour ces effets miroirs. Bien que classique, la cour est superbe. Une ambiance très privative y règne pourtant, les résidents très méfiants, & les cuisines du restaurant voisin donnent directement dans la grande cour.
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En entrant par la rue Mercière, c'est un long couloir rectiligne qui m'accueille ; au sol certes rénové, mais qui garde son charme de l'ancien. Je traboule jusque la cour à gauche, qui, bien que petite, est un véritable havre de paix. La porte au fond me permet de rejoindre l'allée du quai qui se révèlera moins réjouissante. En effet, la séparation des allées la prive de la cour centrale, & le couloir y est totalement refait & moderne. Ce seront 9 marches de dénivelé qui rattrapent la hauteur de la rue Mercière. En train d'observer la cour, un couple de résidents m'interpelle. Nous discuterons du changement architectural de Lyon, des rénovations, & de tout le béton & les autoroutes dont nous avons été épargnés dans ces vieux quartiers. Une rencontre comme j'aime en faire, mes salutations si vous lisez ceci.
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Petite allée charmante en rentrant par la place, mais malheureusement condamnée à sa sortie rue de la Valfenière. Je finis en effet par localiser l'ancienne traversée dans le local poubelle, où la porte est condamnée. -Vous excuserez d'ailleurs la photo très peu esthétique.- Le numéro 5 n'est même plus indiqué dans la rue, mais l'ancienne porte est bien visible.
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Traboule qui laissera peu rêveur. En entrant par la rue du Bât d'Argent, tout petit couloir rectiligne qui débouche sur le local poubelle & l'accès condamné. Comme ailleurs dans cette rue, un renfoncement a été construit à la place de l'ancienne porte, murant totalement la traversée. Le numéro 8 est encore visible sur la jolie porte élancée & esthétique de la rue de l'Arbre Sec, mais l'accès est définitivement impossible.
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Traboule fermée, mais totalement existante & opérationnelle. Un couloir spacieux & rectiligne permet la traversée, entrecoupé en son centre par une jolie cour. Celle-ci présente deux éléments notables. La première: son escalier qui dessert les habitations ; caché dans une jolie tour qui propose une excroissance dans la cour. Sa conciergerie enfin, petit appendice au rez-de-chaussée, joliment lettré & tranchant avec le style de la traboule. On notera deux belles portes cochères de chaque côté, qui nous rappellent bien que nous sommes vers Bellecour. Jolis détails sur la porte de la rue Zola, joints en photo.
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Ennuyante & peu notable courte traversée à travers l'immeuble. Une porte sépare l'accès des habitations par la rue Dullin du local poubelle qui communique à la rue de Savoie. La traboule existe donc, même si je ne saurais quoi vous raconter ici pour vous faire rêver. Seul point intéressant, c'est l'une des rares portes de la rue de Savoie qui n'est pas condamnée.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Un panneau au 44 indique la future rénovation de l'habitation. L'image est volontairement retouchée pour ne pas laisser apparaître n'importe où les informations du futur ouvrage, aussi publiques soient-elles. En passant par la rue du Mail, je retombe en effet à l'arrière de ce bâtiment ; la traboule a donc existé sans aucun doute. Le temps nous dira si les travaux vont finir de condamner le passage à jamais, ou si cela va permettre aux résidents de la parcelle de traverser d'une rue à l'autre. Aujourd'hui, en passant par la grille de la rue du Mail -probablement une ancienne porte cochère ?-, & après la partie plafonnée d'entrée, une petite cour s'ouvre avant de se transformer en un couloir extérieur qui s'arrête net contre le bâtiment de la Grande Rue de la Croix-Rousse.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Derrière le portail de la résidence Pouteau, accessible en prenant l'escalier rejoignant la Grande-Côte, une cour servant de parking de masse. En plus d'avoir un stationnement privé dans les Pentes, les résidents ont en plus le grand luxe d'avoir leurs véhicules à l'ombre du massif arbre central. Au fond, la grille permet d'apercevoir clairement où se situe la traversée. Fermée, je redescends à Imbert-Colomès pour continuer mes photos. Face à la traboule de la rue Capponi, se dresse le raide escalier qui permet autrefois de trabouler. On y appréciera son street-art très Pentesque. La grille est clairement fermée, & je doute fortement que quiconque l'utilise avec les clés. Pas condamnée en soit donc, puisque le mur n'a pas été bouché -pour le moment-, mais fermée à double-tour, & pour très longtemps.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule faisant partie de ces petites merveilles, cachées dans nos murs lyonnais. Comme son homologue du 59 Grande-Côte, je me perds dans des jardins privatifs, sur une longue traversée de bâtiments. En entrant par la rue Burdeau, & après avoir passé 3 portes dans un couloir tout ce qu'il y a de plus lambda, je tombe sur la première partie de la cour, toujours à hauteur de rue. Toute de détails vêtue: jolie arche sous l'escalier, murs en pierre & façades modernes mélangées, excroissance de la tour sur le mur -ascenseur ? j'ai oublié de vérifier, mes excuses-, on y voit le temps passé & les différentes époques qui courent. L'escalier remonte d'un bon étage sur la partie haute, où je sillonne un petit sentier qui longe jardin & terrasse privatifs, ornés de superbes façades végétales. En fond de chemin, 5 marches, puis 11, rejoignent la hauteur du couloir de sortie. A noter, le délicieux escalier à vis, bien abrupt comme il se doit. Très jolie traboule & traversée donc, oubliées dans les murs du quartier ; à raison certainement, puisque les portes étant fermées & le vis-à-vis avec les habitants du rez-de-chaussée très intime, le défilé de tourisme ne raviverait certainement pas les gens derrière ces fenêtres.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Mes recherches en amont indiquaient l'entrée de la traboule au 11 & 12 Rolland, & en effet, ces deux allées ne sont plus qu'une aujourd'hui. La grille d'entrée débouche sur un large couloir, puis sur la cour centrale. Toute en étroitesse, mais très allongée, les allées respectives y sont desservies de chaque côté. Au bout de la traversée, la porte de sortie au 3 Place du Gouvernement, placardée de directives strictes & autoritaires pour les résidents. En effet, la porte ne semble être utilisée principalement que pour sortir de l'allée, & les conditions de son ouverture sont précises, pour éviter tout problème dans ces immeubles. Enfin, détail intéressant, la traboule reliait jadis le 13 du quai, ainsi que la rue de la Baleine. Je trouve de source sûre que la traversée n'était déjà plus possible dans les années 80, autant vous dire que 40 ans plus tard, il aurait été étonnant que j'y vois le contraire. Je prends d'ailleurs quelques photos des anciens accès, visibles dans la cour.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
De chaque côté, la porte est placardée d'un explicite 'Propriété privée - Passage en traboule interdit'. Me donnant l'excuse de ne pas être là pour du tourisme pur, &, prêt à assumer l'engueulade qui pouvait m'attendre derrière, je prends tout de même la décision d'y traîner mes yeux sournois. Très bonne décision, puisqu'après un couloir aseptisé refait à neuf, je débouche sur une cour très plaisante. Certes étriquée, mais du détail des façades mes yeux se raviront. Joli escalier à vis, blotti dans sa tour à pans coupés. Mais clou du spectacle: l'ascenseur a été installé dans une tour lui aussi, rappelant toute l'esthétique de l'époque & de la traboule. J'apprécie, puis me dirige sur le couloir déporté à gauche pour trouver la sortie au numéro 1 des Trois-Maries. La porte me semble, comme beaucoup dans ces petites rues du quartier, utilisable uniquement en sortie. De l'afflux de tourisme ou de la sécurité des résidents, beaucoup d'allées se barricadent. & si j'ironisais sur mon plaisir à outrepasser les mises en garde dans ces premières lignes, n'y voyez aucune provocation. Bien au contraire, je passe mon temps à rabâcher inlassablement sur ce site que les traboules ne sont pas un terrain de jeu. Accessibles même si fermées, n'oubliez jamais que des gens vivent derrière ces fenêtres. Si vous vous y aventurez, je vous en conjure, soyez responsables & respectueux.
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Entrée par le quai, sur un long couloir étroit, entrecoupé d'une vue sur ciel nuageux d'automne, via un petit toit en verre. Une fois la deuxième porte passée, la cour centrale apparaît. Relativement petite, notamment en raison du joli escalier en colimaçon qui dévore une large partie de l'espace disponible. La porte en bois au fond sur le mur ouest me semble être l'endroit de l'ancienne traversée. Impossible de l'affirmer puisque condamnée, mais la typologie du lieu laisse peu de doute. Je rejoins donc la rue des Trois-Maries pour en savoir un peu plus, & confirme mon hypothèse face à la façade aux entrées condamnées. A noter tout de même, marques de tâcheron intéressantes sur les deux arcs.
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Traversée totalement opérationnelle par un couloir rectiligne. On y appréciera les deux voûtes d'ogives qui viennent casser la monotonie de la balade. 12 marches de dénivelé seront aussi nécessaires pour compenser la hauteur du quai en contrebas. Gros regret cependant, la cour, barricadée derrière une porte, ne pourra pas accueillir mes yeux. Je vous fais quand même quelques photos ignobles à travers les vitres, que vous puissiez apercevoir le puits & le détail des façades.
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Comme l'indique la porte du 33, c'est au niveau du restaurant rue de la Quarantaine que se fait la traboule. Après quelques expérimentations, je peux confirmer son existence. Elle n'est pas condamnée, seulement accessible pour les employés du restaurant -& seulement utile pour eux à vrai dire-. Pour des raisons de confidentialité envers les résidents & le restaurateur, je ne poste aucune photo de l'intérieur de l'allée & vous demande donc de me croire sur parole, faute de preuves.
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La porte du 65 étant condamnée, & la deuxième du 27 refusant de s'ouvrir, impossible de passer. Je vois toutefois la sortie depuis l'intérieur, & fais la correspondance logique. Peu de regret cependant, outre le dénivelé d'une trentaine de marches, aucun intérêt à arpenter cette traboule. Pas de détails notables, & son utilité de raccourci est annihilé depuis sa condamnation.
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Curieuse traboule ici, puisqu'elle fait communiquer des allées voisines de la même rue. Le seul exemple de ce type que j'ai visité jusque là, se situe au 1-3 Grande Rue des Feuillants. Passé l'originalité de la chose, je me délecte encore plus d'en découvrir son contenu. En entrant par le 10, & après un petit couloir couvert, une jolie petite cour colorée. Je prends l'escalier qu'y trouve pour retomber sur un deuxième palier extérieur, fleuri & aéré. On y aperçoit, au loin, régner une tour d'un loft du Gourguillon. Enfin, pour encore rajouter au charme de cette traboule, il est important de noter que la traversée peut s'effectuer de deux manières. Premièrement, par cette deuxième terrasse, un escalier embusqué qui atterrit face à l'allée du 12. Ou, par la cour du rez-de-chaussée, via un large couloir qui déboule lui-même sur le bas de l'escalier. Je vous laisse le soin de regarder la photo de la porte qui devait fermer ce passage, & de juger par vous-même de son utilité actuelle.
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Par le couloir d'entrée extérieur, j'atterris rapidement dans la cour. Des façades aux couleurs chatoyantes me distrairont quelques secondes avant que je n'aperçoive la grille qui permet la communication. Elle est malheureusement fermée à double tour, puisqu'elle s'ouvre sur une terrasse de résidents de la rue Saint-Fraçois d'Assises. J'hésite à passer la traboule dans le rang des condamnées, puisqu'il faudrait passer par une porte d'entrée privée pour l'arpenter, mais comme tout est encore théoriquement faisable, je note le statut en 'fermée'.
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Impossible de rentrer, mais grâce aux propriétés magiques du verre sur les portes qui les rendent transparentes, je vois la traversée. Pas de cour, mais un couloir rectiligne, de 6 grosses marches de dénivelé pour rejoindre la hauteur de la rue Rivet. A défaut de trabouler ici, profitez-en pour observer la maison Brunet, au pied de laquelle vous êtes. La 'Maison aux 365 fenêtres' est en effet une des curiosités du bâti lyonnais. Il y avait une pancarte de la ville décrivant son histoire à l'angle de la place Rivet & de la rue Flesselles, mais avec la rénovation actuelle de la façade, celui-ci était retiré lors de mon passage. En complément, rendez-vous au niveau de la sortie rue Rivet, pour voir la maison d'enfance de Tony Garnier. Tout y est bien décrit & expliqué.
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Bloqué par les portes, je n'arrive pas à traverser. Coup de chance cependant, l'une des récalcitrantes est en verre, & me permet de voir l'allée. Je vois la porte de passage, qui me semble condamnée, mais l'indication d'une issue de secours me laisse dans un doute total. J'attends patiemment qu'un résident passe pour lui demander quelques informations supplémentaires, mais après plusieurs dizaines de minutes, je reste seul avec mes doutes. Je passe donc la traboule en 'fermée', en attente de repartir sur le terrain pour mettre à jour toutes les informations.
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Par la rue de la Martinière, une porte embusquée au fond du couloir. Pas condamnée, mais sert à priori à desservir le local poubelle extérieur. A défaut de pouvoir rêver devant la traboule, profitez-en pour jeter un oeil curieux à la jolie façade & aux ornements de l'école juste derrière, rue Blandan.
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Après avoir passé la colossale porte du 16 Annnonciade, avec son heurtoir massif, J'arrive sur un escalier en colimaçon, m'offrant une belle vue sur les toits du quartier. Trois étages plus bas, je rejoins un petit passage voûté qui transperce l'immeuble, pour enfin m'offrir à sa sortie, une vue le ciel automnal de Lyon. De cette petite cour, je me faufile entre les barreaux de la porte, & cavale le long de 5 paliers de marches entrecoupés d'un sol peu entretenu, pour enfin comprendre où j'arrive. La sortie rue Bouteille dessert trois lots: le 5, le 7, & le 7 bis. Mais d'un point de vue purement logique & factuel, la traversée s'est faite par le 7. Impressionnante traboule ici, tant par son dénivelé, sa traversée en plein d'atmosphères, ou sa différence entre le haut & le bas. Celle-ci s'explique très simplement, puisque la grille sur la cour agit comme séparateur entre les petites gens de la rue Bouteille, & les résidents de la cossue allée de l'Annonciade. Ces traboules qui divisent les classes sociales différentes sont très présentes dans le 1er, & ont été conçues avec cette ambition. Vous retrouvez souvent une séparation physique empêchant la traversée, pour que 'ceux d'en bas', ne puissent rejoindre le monde de 'ceux d'en haut'. Loin de moi l'idée de faire ici une critique sociale ou de me prétendre Robin des Bois, je ne fais que souligner une particularité architecturale & sociétale dont on retrouve des preuves écrites depuis toujours dans ces immeubles. Je vous promets donc que je n'ai pas volé les paillassons de soie de l'Annonciade pour les rendre aux résidents de la rue Bouteille.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la rue Terme, long couloir impressionnant de hauteur sous plafond, qui rejoint la sortie avec un palier de 16, puis 20 marches. Au milieu de celui-ci, je vois la cour qui distribue l'accès aux habitations, mais la grille bien trop sécurisée m'empêche de vous en montrer les détails sur les photos.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Condamnée depuis des dizaines d'années, il m'aurait étonné trouver un passage ici ; & il fut même compliqué de définir où était la traversée à l'époque. Au 10 Royale, un bureau d'architectes occupe l'allée de l'époque, jetant donc tout espoir d'y trouver quoi que ce soit. Passant la rue Brazier, je repère ce qui reste de l'ancien couloir, mais ne peut bien évident pas avancer plus. Adieu traboule !
Les allées sont condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Avant de passer la porte d'entrée de la 'Maison Tolozan', immeuble du XVIIIème classé Monument Historique, je prends le temps de me repeigner & défroisser mes vêtements inondés de pluie. Cravate resseérrée, je pénètre dans l'impressionante allée, face à 15 marches & un plafond à voûtes d'arcs. Passé la massive porte, l'immensité de la cour, sur 2 niveaux, apparaît. Par la droite directement, sortie au bout de la cour par le 8 Petite Rue des Feuillants, via un plafond à voûtes un peu moins bien entretenu. Derrière la grille, le deuxième palier, lui, donne accès au 6. Plutôt que de passer plusieurs lignes à sortir un vocabulaire architectural que je ne maîtrise absolument pas & qui risquerait surtout de vous ennuyer, je vous inonde de photos larges mais aussi détaillées, que vous puissiez par vous-même contempler la beauté des lieux. & puisque je risque de regretter d'avoir menti si je vous croise un jour traboulant, vous qui lisez ces lignes, sachez que je ne mets pas de cravate, & même que ma chaussure droite est discrètement trouée d'un malheureux accident au travail.
Les allées sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traversée toujours possible. Traboule en angle droit, aux effluves visuels de celles que l'on trouve chez la voisine Royale, ou la gourmande Mercière. Peu de choses à noter ici, en comptant que mes yeux remplis de pluie n'aient pas louché.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Un seul & même grand immeuble, pour 4 portes de traboules, pour aucune traversée. Triste constat. Il semble que l'habitation fut coupée en deux avec le temps, pour finir par se barricader de partout. La traversée 30 Leynaud au 27 Capucins dans un premier temps. Le 27 n'est plus qu'une entrée de garage privé condamnant toute traversée ; là où après s'être avancé dans l'allée extérieure du 30, un imposant portail en bois barre le chemin à tout aventurier. On aperçoit, depuis cette allée extérieure, la porte qui communiquait avec la deuxième partie de l'immeuble, & même sa sortie Place Croix-Paquet à travers le carreau sale. Du 11 Place Croix-Paquet au 32 Leynaud donc, deuxième traversée aujourd'hui bouchée, puisque le 32 est fermement condamné depuis la rue. On appréciera tout de même la joliesse de l'immeuble des soieries Bauman au 11, qui derrière ses grilles cochères, laisse le visiteur chanceux apprécier sa cour & son décor reposant.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des quatre côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la Montée Saint-Sébastien, le couloir avance de quelques discrets mètres, avant de révéler par un angle droit sur sa gauche, l'ancienne sortie de cette traboule. Totalement embusquée, mais surtout condamnée &, comme si cela ne suffisait pas, obstruée par un amoncellement de... choses ? Il y a bien une cour dans l'allée, mais elle est aujourd'hui terrasse d'un particulier de l'immeuble. Enfin, notons que la sortie se faisait étrangement sur l'escalier d'entrée de la Rue des Tables-Claudiennes, avant même d'arriver à un quelconque numéro d'allée.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Rentrant par Croix-Paquet par un couloir spacieux, & 18 marches plus bas, la porte qui assurait à l'époque la traversée. Condamnée aujourd'hui, elle sortait directement sur la Cour des Moirages, qui est une -remarquable- traboule elle aussi.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
La porte de la rue Griffon ouvre sur un couloir & une cage d'ascenseur qui me laisse peu rêveur. Mais en trouvant la cour à l'extérieur, mes yeux s'émerveillent, surpris de voir toute cette teinte rosée qui m'entoure. Double cage d'escaliers en demi-cercle avec ferronnerie, allant jusqu'à 7 étages sur une façade. Malheureusement, traversée impossible, la grille donnant sur le couloir de la porte Petite Rue des Feuillants est bloquée. Clairement impraticable de l'extérieur, je n'arrive pas à savoir si elle est définitivement condamnée par l'intérieur, n'y ayant pas accès. Dans tous les cas, elle n'est aujourd'hui plus utilisée, & la passe donc en 'condamnée', dans le sens où personne ne l'emprunte plus.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule en angle droit. Beau bâtiment, où la traversée se fait, très étrangement, autour d'une conciergerie centrale, de l'ascenseur & des escaliers. En entrant par la place, un couloir contournant par la droite, qui lui propose une vue sur le ciel. En face par contre, petit palier de 5 marches rectiligne, rejoignant en son bout le détour que l'on peut faire par la cour.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Grande traboule par son immeuble imposant. Malheureusement, double grille fermées en son centre, qui empêche la traversée. Chacune des deux allées est desservie par son entrée respective, & via la cage d'escalier centrale qui coupe la cour en deux. Les résidents du quai sont mieux lotis, de par la superficie de leur cour & leur belle entrée en porte cochère automatisée.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Ligne droite par petite cour étriquée. Joli porche d'entrée dans la cour pour rejoindre les escaliers. Le 13 est, comme beaucoup de portes dans ce quartier, condamné & plus utilisé. Le numéro n'y est d'ailleurs même plus indiqué.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Portes passées, le couloir cache la cour derrière l'ascenseur. Jolie tour sur l'allée voisine, derrière le muret. La combinaison des 2 immeubles donnes une contre-plongée tout en longueur du plus bel effet. La porte vitrée visible donne sur l'ancienne sortie au 7 Constantine, aujourd'hui condamnée. Détail amusant, en allant la voir par l'extérieur pour m'assurer de sa fermeture, j'aperçois la petite pancarte, indiquant que la porte est automatique, sciée sans pitié lors de sa condamnation.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Premier couloir donnant naissance à une cour d'un jaune éclatant, inédit pour moi dans une traboule. Même les tuyaux techniques ont eu le droit d'en être repeint. Quittant cette ambiance chaleureuse par le couloir sous éclairé en face, je localise la porte de sortie. Aujourd'hui fermée, personne ne semble l'utiliser, & je doute que les résidents en aient la clé. De l'autre côté, curieuse allée du 2 Pêcherie, dont je ne vous glisse aucune photo cette fois-ci. Je n'y suis pas seul & je ne veux pas gêner, donc un coup d'oeil pour être sûr de la traboule, mais je garde l'objectif rangé. Je repasserai.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
L'énorme cour centrale de l'immeuble balaie, selon mes suppositions, 4 allées distinctes. J'essaie tant bien que mal de me faufiler discrètement un peu partout, mais mes talents de super-espion resteront limités. Ainsi, je ne vous propose pour l'instant que deux points sur cette traboule: le 1 Constantine & le 2 d'Oran. Dans chacune, une porte massive m'empêche de rejoindre la cour centrale, qui a l'air de beaux détails vêtus. Néanmoins, grâce aux escaliers de Constantine, je parviens à capturer quelques détails -me confirmant par ailleurs la liaison possible avec les autres entrées-. Je viens compléter cette traboule quand j'arrive à accéder au reste.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Passage dit 'de l'Abbaye de la Déserte', ou simplement 'de la Déserte', il est d'une utilité remarquable puisque rejoignant en un éclair les fréquentés Place Sathonay & quartier de la Martinière. Courte traversée étroite, aux odeurs douteuses un jeudi soir ou un de weekend, appréciez-en tout de même son street-art en évolution permanente. Sur la Place Rambaud, donne directement sur l'arrière des halles. Les portes que vous pouvez apercevoir tout le long du passage ne desservent pas d'allées à ma connaissance. Côté historique, il faut savoir qu'avant que ne vienne la Révolution, les Pentes grouillaient de clos religieux, dont on tire encore aujourd'hui beaucoup de dénominations ou vestiges: les Annonciades, les Carmélites, Les Colinettes & leur héritage iodé, ... Les Dames de la Déserte était celui qui trônait à cet endroit. Le cloître de son abbaye démantelé en 1804 est aujourd'hui la Place Sathonay, & le Jardin des Plantes a par ailleurs été érigé sur son domaine.
Le passage de l'Abbaye de la Déserte est empruntable librement, à toute heure, & tous les jours.
A l'époque, cet ensemble communiquait avec la splendide cour qui est aujourd'hui le Jardin Rozier. Accessible en journée, on y trouve une petite aire de jeux pour enfants, dans une ambiance où il fait bon flâner. Pour anecdote, l'abbé François Rozier fut le prêtre de l'église Saint-Polycarpe, en bout de rue, au début de la Révolution. Triste ironie du sort, il y mourut en 1793, dans son lit, écrasé par une bombe. Si vous passez par là, regardez la façade de la paroisse ; on y voit encore les séquelles de ces boulets fatals tirés par la Convention. Mais trêve de digression, revenons à notre traboule. De ce jardin donc, j'ai pu apercevoir les deux anciennes connexions, aujourd'hui impraticables. Vers le 20 Leynaud une porte impraticable suivie d'une grille métallique plus grande qu'un homme, au 18 une grille à triple tour doublée d'une cannisse approximative. Probablement du à l'ouverture en public du jardin, les résidents ont été protégés de toute intrusion sur leur immeuble. J'arpente tout de même les deux allées pour vérifier, & j'en ressors conquis par leur esthétique que je vous laisse savourer sur les photos.
Le Jardin Rozier est empruntable aux horaires d'ouverture. Les allées rue Leynaud sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Stupéfait d'avoir trouvé ce passage dans les archives de traboules, je l'indexe donc, sans réellement savoir comment le catégoriser. Il s'agit d'un passage sous maison, qui aura servi notamment à l'ancien tramway de Lyon, géré par la 'Compagnie des Omnibus et Tramways de Lyon'. On le retrouvait sur la ligne 6 allant des Terreaux à Vaise. Je vous renvoie vers cette image sur le site des Archives de Lyon. Aujourd'hui, le tracé est inchangé & la vue sur Fourvière & l'Amphithéâtre des Trois Gaules toujours aussi belle. Elle descend d'un gros étage sur la rue des Tables-Claudiennes. On y appréciera son street-art changeant & créatif, avant de se retrouver aux pieds de l'ancienne École Nationale des Beaux-Arts ; bâtiment au futur incertain & en discussion.
Le passage est ouverte en permanenc, tous les jours & à toute heure. Il s'agit d'une route utilisée, ne vous faites pas surprendre par un bus qui passe !
Curieuse. En entrant par l'impasse, je tombe sur une cour en longueur, tout aussi bucolique que privative. Si elle dessert à sa droite des numéros qui lui sont propres, les anciennes traboules sont sur la gauche. Trois portes sont en effet communiquantes avec 3 immeubles de la rue Bon-Pasteur qui ferment cette cour au Sud. Le 41 & le 43 sont fermés, mais encore utilisés par les résidents. Pour le 43, c'est un peu douteux, vu la quantité de toiles d'araignée présentes. La porte ne semble pas condamnée pour autant, mais extrêmement bien fermée, & ce depuis longtemps.
Les allées de la rue sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique. L'impasse Bon-Pasteur n'est pas fermée, physiquement parlant, mais est une propriété privée.
Trois immeubles hauts sous plafond & une traboule qui les traverse, jamais je n'aurais cru me sentir si canut dans la Croix-Rousse de 2020. Prêt à tisser, je me retrouve finalement à utiliser mes mains & mon cerveau pour passer les portes à badge ultra-sécurisées qui empêchent ma traversée. Les époques passent & changent, les problématiques aussi. Une fois à l'intérieur, je confirme la traboule: une cour centrale qui relie les trois bâtiments avec une porte dédiée pour chacun. Tout y est fermé à double-tour, je rabats donc mon plaisir sur la façade orange flamboyante. Quelques petits détails que je ne peux malheureusement pas vous décrire ou vous prendre en photo, sans quoi je dévoilerai trop de données personnelles des résidents.
Les allées sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Passage fermé par la cour 'dans son jus' depuis Austerlitz. En bas, c'est carrément une porte condamnée qui m'accueille ; adieu traboule. Jadis, il était possible de longer les terrasses par un escalier à flanc de façades. Peut-être -sûrement- encore possible aujourd'hui pour les résidents, mais je n'outrepasse pas certaines portes, aussi mal-éduqué que vous pourriez me croire.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Après avoir trouvé une trace de cette traboule, je me suis entêté, à coups de cartes récentes & anciennes, de vues satellites, d'archives & d'autres fourberies sur le terrain, à chercher quelle était cette somptueuse traboule qui devait dévaler le long de la Montée du Boulevard. J'aurais dû prendre le cadastre un peu plus tôt pour finalement comprendre qu'il s'agissait d'un passage anecdotique en contrebas de la montée. En entrant par le 5, un angle droit de deux paliers de marches atrocement raides, avant d'atterrir quelques mètres plus bas sur le 1 Bis, totalement refait à neuf, & aseptisé. Croyez-moi, peu d'intérêt d'aller y jeter un oeil. Préférez plutôt gambader sur la sous-estimée Montée du Boulevard. En plus d'être extrêmement pratique, elle garde ce charme du figé dans le temps. Attention tout de même, si comme moi vous décidez de faire une pause dans votre journée avec le chat gardien de ces marches, sachez qu'il n'est jamais rassasié de caresses & d'attention. J'aurais finalement passé 1 minute dans la traboule, pour 10 avec lui.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
M'aventurant dans les tréfonds de cette allée par un escalier qui n'est plus utilisé, je comprends vite que ma visite ne va pas s'éterniser. Une fois arrivé au plus bas, une petite cour étriquée, mais surtout des accès bouchés, murés, barricadés. Plus personne ne passera, & on me le fait savoir. Pour cause, la sortie aurait dû se faire par l'escalier qu'est la rue Grognard, mais donne aujourd'hui dans des terrasses privées & des entrées d'appartements. Alors que je m'allume une cigarette dans les marches de la rue après avoir pris mes notes & pour vous prendre une photo de la vue brumeuse, je me fais sèchement interpeller d'un 'Vous faites quoi là ?', par la fenêtre d'un des étages. Pas le temps de répondre, que surenchérit un 'Dégage !'. Selon Wikipedia: 'Les hommes de la Vieille Garde étaient les plus expérimentés de la Grande Armée, mais aussi les plus fidèles soutiens de l'empereur. Ils se plaignaient cependant souvent de leurs conditions de vie directement à Napoléon, qui les appela donc « grognards ».' N'y voyez aucun sous-entendu.
Les allées sont condamnées des deux côtés.
Labyrinthe surprenant à première vue, puis je finis par m'y retrouver. En entrant par l'allée d'Adamoli, je dépasse l'escalier pour entrer dans la cour. Une petite grille avec portillon fermé permet de descendre, un demi-palier plus bas, sur la cour des Fantasques. Mais, sur la cour supérieure sur laquelle je suis, ce sont deux escaliers parallèles qui se rejoignent au 3ème étage, sur la sortie rue Magneval.
Les allées sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Plus rien ici. De la cour par laquelle j'accède rue des Fantasques, je vois l'immeuble censé être ma sortie au-dessus. Ne trouvant aucun moyen de le rejoindre, je suppose que l'accès n'existe plus. C'est en effet une fois confirmé en passant par l'autre côté : le jardin qui appartient à l'immeuble est bien là, mais les murs construits réduisent à néant les espoirs de trabouler aujourd'hui. Consolez-vous en appréciant la vue superbe depuis les Fantasques.
Les allées sont condamnées des deux côtés.
Je vais être succinct, n'ayant pas réussi à me faufiler à travers les barreaux & portes. La grille de la rue Donnée me permet tout de même d'apercevoir la traversée au niveau d'une cour centrale. J'attends un peu, puis vois quelqu'un l'emprunter. Merci monsieur ! Vous me permettez de confirmer que la traboule existe encore. On notera la porte cochère des Capucins sous vidéosurveillance accrue. Heureusement que j'avais bien dissimulé mes chevaux non-assurés.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Couloir sombre qui commence par m'ennuyer, avant de dévoiler son secret. Au bout, une porte dans un angle inédit, qui s'ouvre sur la partie extérieure & créé la traboule. Sept marches plus haut, je sors dans une véritable ruelle entre les bâtiments. Un passage étroit qui dessert lui-même des appartements accessibles uniquement par ce chemin. Cette impression de goulot, ce raccord d'escaliers des plus étranges, le beau ciel bleu, je ressors par la grille de la rue Terraille conquis par la découverte.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
J'entre par le Puits-Gaillot. Cossue allée bourgeoise au sol de carreaux de ciment, motifs hypnotisant mes yeux fatigués. La porte du fond donne sur une traversée perpendiculaire: à gauche, sortie par la porte cochère de la rue Romarin, à droite: cour centrale avec notamment 'L'Atelier de Soierie'. Cette boutique fait en sorte que le passage jusque la cour soit faisable en journée, aux horaires d'ouverture. Ainsi, la porte de traversée est fermement fermée ; ne trabouleront pas les badauds curieux. J'y passe quand l'atelier n'est pas ouvert -pour avoir champ libre sur mes photos-, & me retrouve finalement embêté. Quelques détails dans la cour m'empêchent de photographier à ma guise. Quelques clichés sommaires donc, en attendant ma re-visite.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique. Toutefois, la porte rue Romarin est généralement ouverte en journée, permettant aux clients de rejoindre la boutique.
Plus je descends les Pentes, plus mes yeux sont indésirables. Finies les tribulations -traboulations ?- légères & insouciantes à travers des portes à moitié fermées. Alors vous imaginez bien qu'au pied de l'Hôtel de Ville, les accès ne vont aps se faire en claquant des doigts. Mes descriptions & photos seront donc moins détaillées dans le quartier. En témoigne cette traboule, où, ne pouvant & ne voulant pas passer les grilles, je fais la traversée visuellement uniquement. La grille permettant le passage par les Terreaux est sévèrement cadenassée, celle de Sainte-Catherine durement fermée. Condamnée métaphoriquement donc, question de sécurité oblige certainement. Impossible de vous faire apprécier la petite cour & ses probables détails, mais la traboule existe encore.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Comme sa voisine, je ne peux ici traverser, la sécurité y est aussi grande que ma curiosité est indésirable. Ceci dit, je vois bien la correspondance par la cour, & confirme qu'elle n'est pas condamnée. Une photo volée de la façade, avant de repartir puisque les cuisines du fast-food me regardent lourdement. J'en oublie de capturer la plaque à l'entrée rue Sainte-Catherine. Je repasse dans quelque temps corriger ma bêtise.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Dans le monde parallèle de la Place des Capucins, où se côtoient bars de quartier, théâtre, Église de Scientologie, & barbier tendance, je me faufile par la grille du 3. Petite descente de deux étages par un escalier avant d'arriver à la spacieuse cour. J'y marche sur des pavés capricieux pour prendre les photos, mais, au-delà de la rigole, un dallage plat a été aménagé avec goût pour préserver les chaussures des résidents. Une énorme grille rejoint le 2-4 Sainte-Marie-des-Terreaux, sous l'oeil affuté de la personne en charge de l'entretien. Je repère, à l'opposé, l'ancien accès qui donnait sur la rue Terme ; aujourd'hui solidement condamné. On en voit la sortie en faisant le tour, sur ce qui était autrefois un petit jardin.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Aucun intérêt. Couloir de quelques mètres, où la porte du 20 Terme est condamnée. Parce qu'il ne faut pas être si négatif, disons que l'on appréciera que le 20 soit, 'grâce' à sa fermeture définitive, resté dans son jus, lui donnant un certain charme.
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Fermée, mais très belle & totalement notable. Très grande cour centrale, spacieuse & verdoyante. Je ne peux malheureusement pas passer la grille qui m'en sépare, la dame au tailleur strict me lançant des regards noirs depuis que j'ai passé la porte cochère, à l'affut de la bêtise que je vais commettre. J'attends patiemment qu'elle décide de se décaler d'un mètre pour vous prendre les ornements en photo: on y notera un deuxième diable qui surveille les allées & venues. La porte cochère au 2-4 rue d'Algérie, bien qu'attaquée de peinture en bombe, aura elle aussi le mérite d'être originale.
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En entrant par les Terreaux, dos à la fontaine enfin restaurée, un couloir rectiligne particulièrement cossu. Sur la droite, l'escalier desservant les habitations, puis une courette. Original portillon de fer si forgé qu'il en paraît sculpté. Mon avancée s'arrête là, ne pouvant le traverser. La porte rue Sainte-Catherine paraît condamnée, mais la logique me fait douter. Si le portillon empêche déjà de trabouler, pourquoi bloquer ce côté aussi ? Comble de la personne qui vit dans le couloir ? En attendant de me renseigner sur des sources sûres, ou d'y rejeter mon oeil, je passe la porte en condamnée.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Quelque peu ennuyante, pour rester poli. Long couloir étriqué aux spots de lumière violents qui font lutter mes yeux endormis. Petite cour privée à l'entresol de l'escalier dissimulé.
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Cour empiétée par une maisonnette servant de local poubelle & sûrement technique. La traboule n'en demeure pas moins d'une joliesse remarquable. De chaque côté, d'imposantes & rustres portes en bois permettent d'y pénétrer, avant que la sécurité ne soit encore renforcée par des portes intérieures vitrées. Délicieux escaliers extérieurs grimpant, enfermant la cour dans son puits de lumière. Voûtes d'arêtes, piliers, & même un ancien puits éclairé, dormant dans sa niche. Agréable traboule dans ce vieux bâtiment du quartier.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Deux couloirs débouchant sur une cour rectangulaire, sans porte intérieure pour gâcher la vue globale. Escaliers originaux de part & d'autre, où les ouvertures, en plus d'être originales, doivent surtout laisser la lumière naturelle voyager bien plus facilement que dans les habituelles traboules du genre.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule bourgeoise des jolis quartiers lyonnais, en témoigne sa spacieuse cour & ses façades irréprochables. De chaque côté, portes cossues jumelées, aux nombreux détails & ornements que mon niveau d'architecture ne saura vous décrire justement. Propres, spacieux couloirs. Les portes s'ouvrant sur la cour côté Vaubecour m'ont tout l'air d'être solidement fermées en permanence ceci dit ; empêchant les résidents de trabouler à leur guise. Sécurité au détriment de praticité.
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Traboule aujourd'hui condamnée par de simples malheureuses grilles, laissant encore clairement apercevoir la traversée. Vous pouvez théoriquement passer par-dessus, mais vous aurez sans doute plus vite fait d'épargner vos vêtements en passant par la rue Bourgelat. Je ne vous joins pas de photo de l'ensemble de la cour & des entrées du quai, pour des raisons de vie privée des résidents. On admirera tout le même de jolis détails disséminés, à défaut de pouvoir trabouler: majestueuses portes ornées, surplombées de leurs têtes de lions, heurtoir d'époque, carreaux de ciment.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
N'a pas survécu au monde qui change : la porte est aujourd'hui condamnée à Guynemer. Fut sans doute très agréable pour ses explorateurs de l'époque, au vue de son utilité & de son ambiance cossue. Prenez tout de même le temps d'y admirer sur le quai sa porte cochère & ses détails.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par Drevet, angle droit sur cour étriquée après un couloir anecdotique, où les poubelles me tiennent compagnie. Porte fermée pour rejoindre l'allée du quai. Pourrait aussi rejoindre le 23 Tilsitt, mais je n'ai pas pu vérifier ce jour ; je repasse & complète au plus vite.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Porte de Guynemer condamnée. En faisant le tour, je découvre d'agréables surprises, me faisant oublier l'odeur entêtante de la poissonnerie voisine, qui carbure en ces périodes de fêtes. Joli portail à imposte s'ouvrant sur un sol aux motifs de carreaux de ciment des plus esthétiques ; mon péché mignon. Cour au plafond vitré du plus bel effet, où en son sol deux appendices servent de locaux divers.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Porte cochère sur cour rectangulaire cossue : bienvenue à Bellecour. La petite porte embusquée au bout est solidement fermée, comme le confirme mon passage par Maupin. Toutefois, la traversée est dans la théorie possible, bien que certainement très peu utilisée. Mon instinct me susurre que les rues Gasparin & Herriot y étaient probablement connectées, mais je n'arrive pas à en trouver une trace dans mes archives de support, ou à y passer sur le terrain. Il en faudra plus pour me décourager, je repartirai sur place pour confirmer ou non.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
De chaque côté, donne sur cour par une grande double porte vitrée. Celle depuis l'entrée du 16 n'est aujourd'hui plus praticable ; si je ne peux garantir que la porte est scellée, les pots de fleurs contre indiquent tout de même que seuls les résidents avec vue sur cour en profitent de ce côté. Je le passe donc en condamnée, puisque c'est l'effet voulu par l'installation. Selon les vues satellites, le 16 bis Gasparin devrait -ou a du- communiquer avec l'ensemble. Une information de plus que je n'arrive pas à confirmer dans ce quartier, où les portes ne s'ouvrent pas avec la même naïveté que dans les Pentes. Je repars vérifier bientôt & mettrai cette description à jour.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Traboule hors service. Premièrement, la porte rue Romarin est remplie de toiles d'araignées, c'est vous dire la date de sa dernière ouverture. Ensuite, en entrant le 7, le couloir rejoint bien une porte centrale, mais, même si j'y vois la présence d'un réceptacle Vigik, je doute du fait qu'elle soit empruntée. Jolie porte au 7 néanmoins, sur cette place où j'ai bu trop de cafés.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
En entrant par la Rue Neuve, étroit couloir où un puits de lumière donne sur les escaliers sur le côté. En continuant, puis en prenant l'angle droit, la porte qui emmène sur l'arrière de la terrasse du restaurant de la rue Gentil. Je ne saurais vous dire avec certitude si elle est condamnée, mais je la crois juste fermée à double tour. Je confirme facilement la traboule par l'autre côté, sans avoir à m'aventurer sur la terrasse, pourtant vide. Pas de mauvaise pub pour ce restaurant, comprenez-moi bien. Le manque de clients d'un restaurateur en décembre 2020 est une étrange épidémie.
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Peu à décrire ici, mais la traboule existe encore. Couloir rectiligne, sans détail, déboulant par le local poubelles rue Salles.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Comme ses voisines, peu intéressante. Court couloir d'immeuble qui sort par le local poubelles. En témoigne l'évolution du sol, qui commence par de jolis carreaux de ciment rue de la Bourse, qui décrépit à chaque transition. Sortez-en la métaphore que vous voulez.
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Semble condamnée par ce qui est aujourd'hui la machinerie d'ascenseur du 22. La porte fermée au bout de l'allée du 50 ne m'aidera pas à définir une conclusion certaine. De jolies cours typiques de ce que demandent les touristes de passage : escaliers vertigineux, arcades, voûtes, ancien puits, tour volante en appendice au mur, de quoi se réjouir.
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Rentré par la rue de la Charité, face au commissariat. N'ayant pas mis de cagoule par-dessus mon masque antipandémique, je ne suis pas inquiété. Couloir sur cour embusquée en fond d'allée. On en ressort par une même simple porte pour rejoindre le 34 Condé, où le couloir en son milieu bifurque en angle droit. Je m'attendais à une allée cossue dans cette partie là du quartier, mais force est de constater que l'ensemble est quelque peu vétuste. Traboule toujours opérationnelle donc, surement bien utile pour les résidents.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Petite merveille cachée derrière nos murs lyonnais, qui change de ces traboules rectilignes que, disons-le, vous n'irez jamais explorer. Nous sommes ici sur une double traboule articulée autour d'un bâtiment sans étage dans la cour. Historiquement appelée 'Cour des Fainéants', j'y trouve une explication amusante dans le Littré de la Grand'Côte:
[...] le père Nant, vieil entrepreneur, primitivement chapelier, sourd comme un tupin, très honnête homme d'ailleurs, qui avait bâti l'immense cour des Fainéants. Sur la frise de la façade qui regarde le midi dans la cour, il avait fait peindre l'inscription suivante: "L'industrie et les arts ont changé mon destin; Cour des fainéants j'étais, cour des diligents je suis devenue."
La vérité, moins rocambolesque, est surement dans la présence au fil des années d'ateliers de peintres, artistes & artisans dans ses murs. Aujourd'hui encore, la tradition se perpétue, avec un encadreur dans les locaux, dont le travail est exposé sur le mur lors de mon passage. Cour pavée, entrées cossues aux plafonds moulurés, disposition originale, anciens écriteaux, ferronneries & balcons: beaucoup à contempler dans cette traboule exceptionnelle du quartier.
Les allées sont privées, fermées de tous les côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Rares sont les traboules qui desservent 2 allées de la même rue, & celle-ci est remarquable d'originalité. De chaque côté une entrée cochère à grille, s'ouvrant alors sur l'espace extérieur qui sert de parking aux résidents. Une pompe ancienne en son centre, & surtout, une horloge qui domine le tout. C'est à mon deuxième passage & en sélectionnant les photos que je me suis rendu compte qu'elle était muette. Ou alors, le temps est distordu dans l'allée. Enfin, très beau bâtiment qui lèche les 3 côtés de la cour, où je me serai bien aventuré pour ma curiosité personnelle, si l'ambiance n'avait pas été si privative. On ne peut pas tout avoir quand les caméras peuvent tout voir.
Les allées sont privées, fermées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Superbe cour à conciergerie. Ancien emplacement de l'Hôtel Varissan qui fut l'Hôtel du Gouverneur, avant de déménager à l'Hôtel Vitta sur proposition d'Edouard Herriot en 1913. -Il y est toujours depuis, nous parlons bien de l'Hôtel du Gouverneur dans le 6ème.- Il sera finalement détruit en 1930, mais la traboule garde une certaine splendeur. Les allées de Boissac & d'Hugo se font face, rectiligne via la cour, là où celle de Sala est logiquement en perpendiculaire. En partant, j'apprécie quelques secondes l'entrée du 16, qui doit certainement correspondre & être définie par de nombreux termes techniques, mais qui me ramène pour ma part à mon envie secrète de trouver des fossiles.
Les allées sont privées, fermées des trois côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.
Ne perdons pas de temps: cour elliptique incroyable, la seule que j'ai vue de ce genre à Lyon, & pourtant j'en ai poussé des portes. Le toit de verre protège des intempéries & empêche la température de chuter ; il y fait bon malgré les -3 degrés dehors quand j'y passe. Un puits, fermé & caché, ajoute à ma contemplation du lieu. La sortie du Gourguillon se trouve à l'entresol, mais la porte est tellement fermée, poussiéreuse en son extérieur, que je la passe en condamnée. Côté historique, nous sommes ici dans 'La Maison du Soleil', construite en 1723, qui trône fièrement sur cet angle de la Place de la Trinité. Admirez-y le soleil doré & les deux statues dans leur niche, au-dessus du Café du Soleil, sur la façade Nord. Si l'architecture n'est pas votre passion, n'hésitez pas à laisser parler votre estomac plutôt, & récupérer quelques quenelles au café en question. Riche d'Histoire & emblématique, vous êtes sans nul doute de passage dans une traboule & un coin du Vieux-Lyon remarquable. Je m'y accorde aussi d'y laisser mes souvenirs, puisque c'est la dernière traboule qu'il me restait à visiter, après 1 an & demi de balade. Certes, certaines bien fermées ont résisté à mon passage, mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Dernière donc que je découvre, en ce milieu de matinée, juste après avoir échangé une cigarette devant avec une ex-collègue-maintenant-amie en plein travail. Même personne avec qui, pour la première fois, je mangeais il y a plusieurs mois à ce Café du Soleil, juste avant de rendre mes explorations publiques. Une boucle joliment bouclée, mais un croisement entre soulagement & sensation de vide intense. L'indexation n'est pas encore complète, bien que touchant à son improbable fin ; accordez-moi donc quelques jours de repos au chaud, puis j'irai pousser les dernières portes qu'il me reste en me mentant à chaque fois: 'Ce ne sera jamais la dernière'.
Les allées sont privées, fermées ou condamnées des deux côtés & n'appartiennent pas à un circuit touristique.